Sur cette page seront regroupées les réponses qui me seront parvenues et que j'aurais retransmises aux intéressés avant de les reproduire ci-après. Les N° "CL..." aideront au repérage dans les deux sens. La page devenant trop longue, rendez-vous pour la suite ici Cher Monsieur Oosterbosch, Sachez tout d'abord que vous n'avez pas été oublié mais qu'il faut parfois attendre quelques temps avant d'obtenir les renseignements et/ou de contacter les personnes susceptibles de les fournir. Concernant votre question, un de nos membres, Monsieur Grégoire a trouvé un passage à ce sujet dans le livre "Marie-Thérèse, impératrice des Belges de Jo Gérard édité par les Ed J.-M. COLLET – Bruxelles 1987) Texte des pages 55 et 56 : Le 17 juin 1757, nos soldats se battent à Kollin contre l'armée de Frédéric II. Hongrois et Autrichiens fuient sous le feu des grenadiers allemands. Le général Wied va ordonner la retraite quand surgit le colonel comte de Thiennes à la tête de sept cents dragons belges. Il apprend qu'il faut fuir et, se rebiffant, il dit au maréchal autrichien Daun : "Nous n'avons pas fait trois cents lieues pour f… le camp aujourd'hui ! Daun. – Que voulez-vous donc ? Thienne. – Charger les Prussiens ! Daun. – Attaquez donc, mais vous ne ferez pas grand-chose avec vos blancs-becs…". Alors le colonel de Thiennes s'en retourne devant ses cavaliers et leur dit : "On vous a traités de blancs-becs. Montrez donc que pour mordre il ne faut que des dents et pas de barbe !". Les dragons belges chargent alors si furieusement les Prussiens que ceux-ci déguerpissent, hurlant de colère et de douleur. Mais ils se ressaisissent et repartent à l'assaut, sept fois. Toujours en vain, ils se heurtent, en effet, à nos fantassins après avoir été étrillés par nos dragons. L'ennemi commençant à les énerver à force d'insistance, nos hommes capturent un bataillon prussien entier. La bataille de Kollin, d'abord mal engagée sera gagnée, et Marie-Thérèse sera si heureuse qu'elle remettra aux dragons belges un drapeau où elle brodera elle-même cette devise : "Qui s'y frotte, s'y pique". Marie-Thérèse, voulant manifester sa gratitude à ses soldats belges, créera en 1776, à Messines près d'Ypres, une institution en faveur des enfants de nos militaires. J'espère que ce texte ne vous était pas connu, car rien d'autre n'a été trouvé à ce sujet. Ce qui ne veut pas dire que d'autres sources n'existent pas. Si l'histoire militaire vous intéresse, que diriez-vous de devenir membre du CLHAM et ainsi recevoir une bulletin trimestriel de grande qualité tant au point de vue contenu que contenant (+ d'autres avantages si vous pouvez venir dans ses installations) ?. Pour le 2e semestre 2002, la cotisation s'élève à 6,25 € et à partir de janvier 2003, elle s'élèvera à 16 €/an. Cette cotisation est à verser au compte 000-1193309-15 du CLHAM, Rue Saint-Laurent, 77 à 4000 LIEGE. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Cher Monsieur Sebille, Voici la liste des abris de Namur et environs avec leurs coordonnées. Lorsque vous verrez ces images, vous comprendrez pourquoi je ne les ai pas retravaillées, par manque de temps. Je le ferai dans un avenir plus ou moins proche et ne manquerai pas de vous envoyer le résultat de ce travail.
Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur Sebille, Voici un complément d’information qui devrait vous intéresser. Cela aura pris du temps car il n’est pas toujours possible de contacter les bonnes personnes et celles-ci ne peuvent pas non plus toujours répondre de suite. - - - - - - - - - - - Coenen Emile Rue Waltère Lallemand, 14 4030 Grivegnée
Monsieur Sebille, Monsieur Britte m’a fait parvenir votre demande de renseignements sur les barrières Cointet. Aussi je vous transmets par la présente quelques copies de documents en ma possession. En janvier 1933, le colonel de Cointet, officier français, soumet un projet d'obstacle antichar à l'armée française. En 1936, après une expérimentation, cet obstacle est adopté. C'est en fait une barrière qui permet d'arrêter tous les types de chars connus à l'époque. L'armée Belge va employer ce type de matériel tout en le modernisant quelque peu. Cette barrière est formée d'une charpente métallique posée sur trois rouleaux, deux à l'avant et un à l'arrière. Chaque rouleau étant mobile, il est possible de diriger la barrière dans une direction donnée bien qu'elle pèse 1.300 kg environ. La façade a une hauteur de 2,50 m et une forme de pentagone. C'est sur cette face que les Belges vont ajouter huit cornières verticales, à celles existantes, empêchant tout franchissement par l'infanterie. Ces barrières peuvent être reliées, l'une à l'autre, et rendues solidaires afin de former un obstacle antichar continu. Ce type d'obstacle ferme des routes, des frontières, de vastes étendues planes, des ponts, des tunnels, etc. Afin que ces éléments soient amarrés solidement au début et à la fin de l'obstacle, on conçoit une borne en béton, sorte de seau renversé, munie d'un corselet en acier, profondément ancrée dans le sol. Cette borne émerge d'environ 60 cm du sol et permet, au moyen de câbles, de fixer soit une seule barrière, soit la première et la dernière barrière d'un obstacle continu. Ce système est nettement plus modulable que le réseau de rails. C'est le cas notamment pour les agglomérations où les dédales des rues rend l'ensemble particulièrement efficace. Les barrières peuvent être également fixées à un réseau de rails. Pour ce faire, un des montants de la face avant de la barrière est garni d'un cintrage en tôle qui est ensuite rempli de béton. C'est également le cas pour quatre rails d'un réseau. Dès lors un câble métallique d'une dizaine de mètres et muni de manilles, vient s'enrouler autour des quatre rails modifiés afin de fixer ta barrière. Vu sa grande facilité de mise en place et le fait qu'elle puisse être enlevée à tout moment, la barrière Cointet va progressivement remplacer les autres obstacles tels que le réseau de rails, tétraèdres lourds et légers et les bornes à câbles. Le 22 septembre 1938, le lieutenant-général Van Den Bergen décide de dénommer officiellement ce type de barrage : Eléments C et sa borne de fixation : Borne C. En temps de paix, les barrières sont remisées à proximité du lieu qu'elles doivent bloquer. Ces emplacements prennent le nom de « Garage C ». Ces garages sont le plus souvent formés d'une simple dalle en béton, ceinturée par une clôture munie de barrières. Parfois une simple rue peut devenir un garage. Mais à certains endroits, l'entreposage des barrières peut entraîner d'importants travaux d'aménagements. Environ 75.000 barrières de ce type on été commandées et au 10 mai environ 73.600 pièces étaient disponibles. Elles ont été fabriquées par 28 usines différentes. Sachant que ces renseignements sont destinés à un article pour une revue, je désirerais que vous citiez votre source concernant les barrières Cointet Je vous explique la cause. Le texte ci-avant fait partie intégrante d'un livre que mon ami F. Vernier et moi-même avons publié sur la P.F.L. 2. Ce livre est le troisième d'une série consacré à la Position Fortifiée de Liège édité par les Editions De Krijger. Mais c'est avec plaisir que je vous donne l'autorisation de reproduire les parties du texte qui vous seront utiles ainsi que les copies des plans que vous trouverez en annexe. La seule restriction étant de bien mentionner la provenance à savoir : La Belgique sous les armes 8 - La Position Fortifiée de Liège - Tome 3 - Les abris de la P.F.L. 2 - E. COENEN et F. VERNIER - Les Editions De Krijger. Il est vrai qu'aujourd'hui, nous sommes particulièrement gâtés à Liège en ce qui concerne les vestiges de ces obstacles. Il existe encore un nombre important de bornes et de garages C. Il est vrai que la position de la rive droite était complètement fermée par ce genre d'obstacle et ainsi que d'autres. Malheureusement, je ne saurais guère vous aider en ce qui concerne Namur. J'ai déjà mis pas mal d'années à faire des recherches rien que pour Liège. Tout cela prend pas mal de temps libre. Néanmoins, je peux vous aider à éventuellement retrouver des vestiges en vous indiquant les endroits susceptibles d'en contenir. Il y a tout d'abord les ponts, ceux-ci comportaient pratiquement tous un barrage C. Les abris de contre-irruption possède chacun un barrage, à une cinquantaine de mètres en avant de ceux-ci, sur la route qu'ils devaient défendre. Les abris de contre-irruption sont équipés d'un canon antichar de 47 mm, d'une ou plusieurs Mi et d'un phare et éventuellement d'une cloche de guet ou FM. Les axes importants de pénétration dans la position et en avant des abris d'intervalle. Si cela peut vous aider, je possède une liste des abris construits à Namur avec pour chacun les coordonnées UTM provenant de l'armée. Celle-ci a procédé à ce type de relevé vers les années 60. La liste n'est pas toujours complète mais la majorité des abris sont repris. Grâce aux coordonnées UTM, il est possible en possédant les cartes de l'IGN au 1/50.000 avec cotes UTM de repositionner chaque abri. Ces cartes sont découpées en carré de 2 cm avec des cotes; II suffit de découper un carré de 2 cm de côté dans une feuille transparente et de diviser chaque côté en 10 carrés. La carte possède chaque fois les deux premières données et votre carré la dernière. Donc, si vous le désirez, je peux vous fournir les copies de ce document afin de vous permettre de retrouver les abris construits dans votre région ou dans la P.F.N. Sachez que je reste à votre entière disposition, je ne connais pas grand chose à Namur, néanmoins, en ce qui concerne les abris, les équipements intérieurs sont identiques à ceux de Liège et les modifications apportées aux observatoires des forts découlent des études faites à Liège. Recevez, Monsieur Sebille, l'expression de mes sentiments les meilleurs. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur Jacquemin, Cette réponse tardive s'explique par le fait que j'ai cherché des personnes susceptibles de vous donner des renseignements utiles. Comme vous devez le savoir, l'état Belgique n'existe que depuis 1830. La 11e DI est donc vraisemblablement une division française. Mes efforts ont été vains. Nous ne pouvons que vous conseiller de chercher du côté du Musée Royal de l'Armée ou encore vers des organismes "historiques" en France et en Hollande puisque votre ancêtre servit en 1820, donc 10 ans avant l'indépendance de la Belgique. Cordialement Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur Mercy, J'ai contacté notre spécialiste sur La Chartreuse. Il va voir un ami qui a servi à l'époque du GTA pour éventuellement obtenir des photos. Mais, il y a peu d'espoir car cet ami ne servait que les samedis ! Monsieur Loxhay, qui est l'auteur du livre "La Chartreuse", me dit avoir reçu la visite d'un couple qui s'appelait Mercy et qui habite Rue des Chrysanthèmes à Bressoux (N° de la maison et de téléphone inconnus). Etes-vous parents ? Madame Mercy a dit à Mr Loxhay qu'elle avait habité cette maison dans sa jeunesse. Si vous n'êtes pas l'époux de cette dame, vous pourriez essayer de la contacter. Si vos recherches aboutissent à un meilleur résultat, ce serait gentil de nous en faire profiter. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Chère madame Martinoni, A ma connaissance et à celle de plusieurs éminents membres du CLHAM connaissant bien la région et son histoire, je n'ai pas pu trouver quoi que ce soit sur un tel tunnel. Le seul tunnel que nous connaissons débute aux environs immédiat du pont de Lannaye et se dirigeant vers le fort d'Eben-Emael, a été creusé entre les 2 guerre et a servi au transport et à l'évacuation des déblais de la tranchée du canal Albert. D'autre part, il existe un autre site souterrain qui pourrait être ce que la personne qui vous a contacté cherche, mais n'est pas tout à fait ce qu'elle pense : le "Jezuitznberg". Il s'agit d'une carrière de tuffeau exploitée entre 1704 et 1880 et qui, grâce aux Pères Jésuites qui y sculptaient des figures durant leur temps libres, est devenue un musée. Ci-joints, quatre fichiers du dépliant que l'on peut obtenir lors de la visite de ce site (à ne pas manquer). Espérant vous avoir donné une réponse satisfaisante, recevez, Madame Martinoni, mes respectueux hommages. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante
Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur Wuyts, Voici le texte que m'a transmis Emile Coenen : En réponse à votre demande auprès du C.L.H.A.M., je vous transmets ces quelques renseignements utiles. La Position Fortifiée de Liège 1 compte le 10 mai 1940, un total de 178 abris, répartis en 7 intervalles entre les entités de Visé et Comblain. Ces 7 intervalles se décomposent comme suit : Comblain - Sougné = indicatif CS = 30 abris Sougné - Becco = indicatif SB = 19 abris Becco - Vesdre = indicatif BV = 25 abris Vesdre - Manaihant = indicatif VM = 34 abris Manaihant - Margarin = indicatif MM = 20 abris Margarin - Neufchâteau = indicatif MN = 31 abris Neufchâteau - Visé = indicatif NV = 19 abris Quant au nombre d'abris étant encore visibles actuellement, l'agrandissement continuel de l'agglomération et les nombreux terrains à bâtir octroyés font en sorte que ce nombre évolue constamment. Aussi à titre purement indicatif, je vous dirais que vers les années 1990, il en restait aux alentours de 150 encore plus ou moins visibles. Si vous désirez de plus amples informations sur cette ligne, je vous signale que le C.L.H.A.M. vend un livre sur cette position au prix de 15 Euros. Vous y trouverez tout ce que vous voulez connaître sur cette position. E. Coenen et F; Vernier - Les abris de la Position Fortifiée de Liège n° 1 - Editions De Krijger Néanmoins je reste à votre disposition pour le moindre complément d'information sur le sujet. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur Vignale, Malgré de nombreux contacts, je n'ai rien trouvé qui pourrait vous aider. Cependant, en ce qui concerne votre grand'père, vous pourriez vous adresser à l'Office de la Matricule, Quartier Reine Elizabeth à Evere. Pour ce qui est de documents sur le 68 RI, vous pourriez essayer en passant à la bibliothèque du Musée Royal de l'Armée. Bonne chance dans vos futures recherches. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Réponse d'Albert Lekeu (CLHAM) Le Lieutenant Colonel BEM Lallemand, était chef de corp au 1er régiment de chasseur ardennais avec le grade de Lieutenant Colonel, du mois d'août 1950 au mois de juillet 1951, il a succédé au Lieutenant Colonel BEM Palmaers et il a remis le commandement au Lieutenant Colonel Boutique C'est tout ce que j'ai trouvé pour l'instant Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur Hatala, J'ai contacté quelques membres du CLHAM sans succès. Cependant, en ce qui concerne l'obus Röchling, des essais avaient été effectué sur le fort d'Aubin-Neufchâteau. Un de ces projectile (inerte) est d'ailleurs toujours fiché dans le radier de ce fort. Je pense que si vous contactez Monsieur PUELINCKX (http://forts.shorturl.com/ ), il lui serait possible de répondre à vos questions ou, au moins, de vous mettre en contact avec des personnes ayant des connaissances à ce sujet. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Madame Leblon, Nous envoyons un exemplaire de chaque bulletin aux organismes suivants : C.E.G.E.S.-S.O.M.A - Rue de la Loi, 155/B2 - 1040 BRUXELLES Musée Royal de l'Armée & Histoire Militaire - Parc du Cinquantenaire, 3 - 1040 BRUXELLES Bibliothèque Centrale du M.D.N. - Quartier Reine Elisabeth - 1140 BRUXELLES Bibliothèque d'Information de la Communauté Française - Bd Léopold, 44 - 1080 BRUXELLES Bibliothèque Royale Albert Ier - Bd de l'Empereur, 4 - 1000 BRUXELLES UCL-BCH – Service des périodiques - Place Pascal, 1 - 1348 Louvain-la-Neuve Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Madame Francou, Suite à votre demande, nous pouvons vous indiquer plusieurs pistes pour >trouver les réponses à votre question concernant l'historique de l'ancien champ de tir : Le Musée Communal de Spa détient de nombreux documents à ce sujet. Vous pourriez aussi envoyer votre demande au Commandant de la 3 KDR (Administration des bâtiments et domaines militaires des provinces de Liège et du Luxembourg) - Rue Saint Laurent, 77 à 4000 LIEGE. Monsieur Jacques Urbain (Rue Commandant Bellanger ?) est aussi une source possible de réponses. Nous ne pouvons malheureusement pas vous aider plus, mais espérons vous avoir donné des indications utiles. Bonne chance dans la poursuite de votre projet Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Dear Sir, Finally, I can send you 2 maps who maybe help to give you an answer to your question. Sorry if I write some mistakes, I learned English at school in the years 1960's. Best regards, Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Madame Wouters, Concernant vos recherches, vous pourriez visiter le site http://cultureweb.luxweb.com/museums/m-385thbomb.asp et éventuellement les contacter. De plus, je pense que vous pourriez faire la visite de ce musée (à ma connaissance unique en son genre) avec l'aviateur US qui vous rendra visite cet été. Avez-vous reçu le fascicule "Liège libre, T II" ? Si notre président, Mr Spoiden, trouve d'autres renseignements au sujet de cet avion, je vous les transmettrai. D'autre part, m'intéressant personnellement aux unités de l'USAAF et de la RAF pendant la WWII (ETO), je vous serais reconnaissant si vous me communiquiez les adresses de sites que vous connaîtriez. Si cela vous intéresse, je pourrais également vous communiquer tous les sites que j'ai trouvé sur la WWII. D'avance je vous remercie. Bien à vous et bonne chance.
Madame Wouters, Après vous avoir envoyé le message précédent, je suis allé sur le site du musée de Perlé, puis j'ai surfé et trouvé le premier site ci-dessous qui m'amène aux deux autres. Si vous ne les connaissez pas, je vous invite à les visiter. http://www.armyairforces.com/units.asp http://www.armyairforces.com/379thbg.asp http://379thbga.org/ A bientôt peut-être Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur, Vous trouverez ci-après la liste de nos publications telle qu'elle est éditée sur notre site. ATTENTION : elle doit être mise à jour pour enlever les titres qui ne sont plus disponible et pour la mise à jour de certains prix ainsi que pour la somme forfaitaire demandée pour les frais d'envoi. J'attends cette mise à jour de notre trésorier, mais pour des absences de sa part et de la mienne, cela ne pourra pas se faire avant la 3e ou 4e semaine de mai. Veuillez nous en excuser. La mise à jour a été faite entre temps Si vous êtes pressé de connaître ces modifications, je vous conseille de contacter notre trésorier, Monsieur Gérard, par téléphone au numéro +32 (0)4 343.15.00 ou en lui écrivant à son domicile : Rue de Verviers, 27 à B4020 LIEGE. Espérant vous avoir aidé d'une manière satisfaisante, veuillez agréer, Monsieur, l'espression de nos sentiments distingués. P.S. Avez-vous pris connaissance des modalités pour devenir membre ? Cela vous permettrait de recevoir 4 bulletins par an qui contiennent entre autres, des articles sur l'histoire militaire (au sens large du terme) de Liège. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Pour info, j'ai reçu la même demande d'un Monsieur Jean-Paul Leburton. Je contacterai dimanche prochain quelques-uns des membres de l'Association du Fort de Barchon susceptibles de vous aider. Je vous tiendrai au courant en cas de réponse intéressante. Für Ihre Information : ich habe die selbe Frage von ein Herr Jean-Paul Leburton bekommen. Am nächste Sonntag, werde ich an mehrere Mitglieder von des Forts Barchon Ihre Frage weiter geben. Ich hoffe Antwort(en) zu kriegen. Im diesem Fall, ich wurde Ihnen informierten. Bonjour, J'ai transmis votre demande à un ancien du fort et j'attends une réponse. Sera-t-il rapide ? D'après d'autres personnes, tout ce qu'on saurait sur ce militaire est l'emplacement de sa tombe. Patience Bonjour, Voici la réponse que je reçois à l'instant de Mr Pierre (+32/387.59.71). "Récit de Jules Oury (Décédé depuis) "Nous étions observateurs sur le terril de Trembleur. Le 11 mai 40, suite à l'approche des Allemands, nous avons quitté notre poste pour nous replier sur le fort de Barchon. Au pied du terril, le maréchal des logis G. Defauwes nous a quitté en disant "Je vais rechercher le F.M. que nous avions laissé sur place". Il a été abattu par les Allemands dans l'enceinte du charbonnage." Une stèle se trouve dans le complexe touristique de Blégny Mine, à l'endroit où le MDL Defauwes a été tué. Un cadre avec les photos de G. Defauwes se trouve au musée du fort de Barchon (Visites tous les 2e dimanche du mois, de avril à novembre). Ces photos nous ont été données par une dame apparentée à G. Defauwes. Il s'agit de Madame Marie-Anne OHN, Rue Gaillard Cheval, 158 à B4041 Vottem. Voici ce que j'ai obtenu à ce jour. Si vous voulez affiner vos recherches, je vous suggère d'écrire à cette Madame OHN. J'espère que j'ai pu vous aider et vous souhaite de bons résultats. Si vous obtenez d'autres renseignements ailleurs, les amis du forts de Barchon seraient heureux de les connaître (par mon intermédiaire). Hello, Ich werde probieren zu übersetzen, aber ich werde auch viel Deutsch Fehlern schreiben. "Nachricht von Jules Oury (seitdem gestorben) "Wir Beobachtern über der Schutthalde von de Trembleur. Den 11 Mai 40, die Deutsche kamen immer näher, wir entscheiden unser Position zu verlassen um zurückziehen zu Fort Barchon. Runter vom Schutthalde, der Feldwebel G. Defauwes hat uns lassen. Er sagte "Ich werde das F.M. (Fusil-Mitrailleur = Leichte Maschinegewehr) zurück holen. Wir hatten es oben gelassen. Die Deutsche haben ihn erschossen in die Installation vom Kohlenbergwerk. Ein Monument steht wo er erschossen war in der jetzige touristische Komplex von Blegny Kohlenbergwerk Es gibt Photos in der Museum des Fort. Organisierte Besuche jede 2. Sonntag des Monat, vom April bis zum November. Diese Bildern waren von ein Frau Marie-Anne OHN, Rue Gaillard Cheval, 158 à B4041 Vottem gegeben. Sie war von die Familie des Feldwebel G. Defauwes Wenn Sie mehr davon lernen zu kennen, wir würden uns freuen es zu wissen. Schöne Grüss, Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur Bouche, Notre membre assidu, historien de formation, Eric Simon a trouvé un document de 5 pages dans l'ancienne revue "Memo", reproduites ci-après. Si cela ne devait pas suffire, veuillez me le faire savoir. Espérant vous avoir aidé utilement, Monsieur, Voici les dates d'ouverture du fort d'Eben-Emael pour cette année (de 1000 >Hr à 1600 Hr) - Voir la page CalendrierRetour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur Van Zeir, Voici une réponse donnée par notre éminent membre Mr Pierre GREGOIRE : «- Renseignements pris à la FN : Mr GAIER, directeur du Musée d’Armes et direc-teur à la FN signale que les archives d’époque ont été détruites par les services collabo et la résistance. Il ne connaît pas de document(s) qui ferai(en)t mention de la Junkers Flugzeug AG. - D’après l’ouvrage du Col Robert D. Wittington III, German pistols and holsters 1934/1945, military police NSDAP, 3e édition, Highland Park, New Jersey, il semblerait que la FN, outré les pistolets classiques GP 35 et 19/10/22 ait fabri-qué des pièces pour armes Walther, Mauser, pièces pour canons d’aviation Mark 108 de 30 mm (N° 37, avril 1983 de la revue des Amis du Musée d’Armes de Liège. - D’après étude sociale faite par Mr Questienne (Amis du …), la FN a été mise sous séquestre du 19 juin 1940 jusqu’à la libération de la ville de Liège. La direc-tion technique de la FN durant cette période fut assurée par des ingénieurs et techniciens de la D.W.M. (Revue N° 39/40, Dec 83 de la Revue des Amis …)» Malgré cette réponse assez succincte, nous espérons que ces renseignements vous feront avancer dans vos recherches. Je suppose que vous avez visité notre site, en continuelle construction. Avez-vous son-gé à devenir membre de notre association pour la somme de 12,50 €/an. Conditions et contreparties à la page « Présentation » de notre site ( http://www.ibelgique.ifrance.com/CLHAM ) Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Monsieur Bleuart, Voici le conseil que je peux vous donner : allez dans une bibliothèque publique, faites la liste des livres que vous trouvez sur ce sujet (Titre, Auteur, Edition et si possible, le N° ISBN). Ensuite, allez visiter le site www.chapitre.com . Vous pouvez aussi faire une recherche sur "libraires", peut-être trouverez-vous une librairie qui se spécialise dans ce genre de livres. Autre possibilité : visiter des librairies de vente de livres d'occasion. Espérant vous avoir un peu aidé, recevez, Monsieur Bleuart, nos meilleures salutations. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Bonjour, Rien de plus simple : voici trois possibilités de mieux nous connaître ou de faire partie de notre association. 1. Devenir membre en versant 16 € au compte 000-1193309-15, ce qui donne le droit, entre autres, de recevoir notre bulletin trimestriel de 72 pages au moins. 2. Passer un mardi soir (à partir de 1930 Hr) dans nos installations situées dans la caserne St-Laurent (entrée par le corps de garde. Un noyau d'habitués s'y retrouvent ainsi que d'autres personnes (membres ou non) qui veulent nous parler, poser des questions, acheter des publications spéciales, consulter nos archives, visiter notre bibliothèque (prêt gratuit seulement pour membre, sinon, dépôt d'une caution), etc. 3. Visiter notre site : http://clham.org en constante évolution. Voilà, j'espère avoir le plaisir de vous voir devenir membre et aussi de vous rencontrer un de ces mardis prochains (sauf les 2e mardis car ce jour là, j'ai d'autres obligations). Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante Coenen Emile
Liège, le 19 novembre 2001
Monsieur Wuyts,
Le Colonel Spoiden m'a transmis votre mail du 5 novembre concernant des renseigne-ments sur le canon de 47 mm de casemate. Les deux étriers, placés sur l'arrière de l'affût de casemate, permettent de placer des cales en bois afin de bloquer l'ensemble canon/affût. Je vous cite, ci-dessous, un extrait du règlement sur le 47 mm parlant de la mise en batterie du canon. «En cas de tension ou d'alerte, le chef de pièce ordonne la mise en batterie Le volet d'embrasure est ouvert complètement. Le pointeur et le tireur enlèvent la bâche et les coiffes Le chargeur plie l'ensemble et les range à l'endroit fixé. Pendant ce temps, le pointeur ramène le canon à l'horizontale et le tireur prépare les cales en bois. L'affût et le canon sont alors poussés vers l'embrasure jusqu'au moment où les deux pivots sont enclenchés dans leurs logements. Le pointeur engage les cales dans les étriers de l'affût qui sont enfoncées à la masse par le tireur dans le radier Le volet principal est descendu et le volet secondaire de gauche fermé.» Dans les abris de contre irruption, la chambre de tir comporte deux rails, scellés dans le radier (sol) de l'abri. Ces rails permettent le déplacement de l'affût. Entre ces deux rails et à proximité du mur possédant l'embrasure, un évidement (environ 55 cm de côté) est réalisé dans le sol. Celui-ci est rempli d argile. Il permet de placer une mitrailleuse sur son affût de campagne (Maxim 08 sur affût traîneau). A l'arrière de cet évidement, deux carrés de 10 cm de côté environ, sont réalisés dans le sol. Ils sont espacés d'environ 30 cm l'un de l'autre et dans le même axe. Ces deux évidements servent de logement aux cales bloquant l'affût de casemate. Mais plutôt qu'une longue description je vous fait parvenir quelques schémas qui vous permettront de mieux comprendre. Le canon pouvant être à tout moment remplacé par une mitrailleuse, les deux rails permettent de placer le canon au fond de la chambre de tir. Les pieds avant de la mitrailleuse se placent dans la découpe particulière de l'embrasure et les pieds arrières sur l'argile placés dans l'évidement. D'ailleurs le volet intérieur d'embrasure possède deux systèmes permettant de protéger soit le canon ou la mitrailleuse. Je vous transmets également une photo de la chambre de tir de l'abri IR 12 (Colonster) où l'on voit bien les différents éléments décrit ci-dessus. Je pense avoir répondu à votre question et sachez que je reste à votre entière disposition pour tout autre renseignement sur le canon de 47 mm ou les abris de la P.F.L..
E. COENEN
Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante De Eric Simon : J'ai découvert dans un article de la "Simon Stevinstichting (Fascicule 1993/3) un paragraphe mentionnant l'existence d'abris particuliers et semi-enterrés dans les environs de Gelbressée. En pièces jointes, une mauvaise copie de la photographie de l'un de ces abris ainsi que la localisation de ceux-ci sur une carte. Si des similitudes apparaissent, il serait peut-être utile de prendre contact avec l'association Simon Stevinstichting d'Anvers pour de plus amples informations (adresse de leur site dans nos liens).
Nous espérons que ceci avancera vos recherches. Si vous trouvez plus, il nous serait agréable d'être tenu au courant. Retour au début de la page "Courrier (1)" ou à la question correspondante |
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