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Je vous fais suivre le message reçu de notre historien Eric Simon. Monsieur Dome, J’ai bien reçu votre petit mot relatif aux questions que vous vous posez à propos de l’affectation de votre père en mai 1940. Je vais essayer de faire tout mon possible pour vous aider. Je vous signale tout de suite qu’il y a plusieurs contradictions flagrantes qui apparaissent à la lecture des informations que vous me soumettez. Récapitulons tout d’abord les éléments dont nous sommes certains. Votre père est né en 1910 et fait son service militaire en 1930 au 1er régiment de Ligne (1 Li) à Verviers. Ceci nous permet déjà de tirer pas mal d’enseignements. 1° Votre père appartenait à la classe 1930. Dès lors, il n’a pas pu faire partie de la 7e division d’infanterie (7 DI). La raison en est simple. La 7 DI est composée de trois régiments d’infanterie de première réserve (2e Carabiniers + 2e Grenadiers + 18e de Ligne). Le régiment de première réserve est composé de soldats des classes 1935, 1934, 1933 et 1932. Votre père n’en fait donc normalement pas partie. 2° Votre père, ayant effectué son service au 1 Li, il est beaucoup plus vraisemblable qu’il soit demeuré affecté à son régiment d’origine. Or, pendant la mobilisation, celui-ci se dédouble pour donner naissance au 25 Li de première réserve (soldats des classes 1935, 1934, 1933, 1932) et se détriple pour donner naissance au 31 Li de deuxième réserve (soldats des classes 1931, 1930, 1929, 1928, 1927, 1926). En bonne logique, c’est à cette unité que votre père aurait dû appartenir, mais cela est en totale contradiction avec les informations relatives au début de la campagne que vous me donnez. Cette unité était en effet déployée près d’Anvers, sur le canal Albert entre Oelegem et Herentals. Par contre, cette unité se trouve à Passendale lors de la capitulation du 28 mai. 3° Il y a encore une autre explication plausible. A la mobilisation, on a créé avec des réservistes âgés des bataillons de mitrailleurs affectés aux positions fortifiées de Namur, Anvers et Liège. Ils sont officiellement désignés bataillons d’unités spéciales de forteresse (Bn Usf). A Liège, le VIIe bataillon comporte quatre compagnies: les 28e, 29e, 30e et 31e compagnies Usf. Elles défendent le secteur « Meuse Aval » entre Chertal et Lixhe. La 31e Cie (la plus septentrionale) ne se trouve pas très loin de Lanaye et elle se trouve déployée en deux échelons sur la rive gauche du canal Albert. 4° Il serait plus facile d’avancer si l’on connaissait le dossier militaire de votre père. Il se trouve au Centre de Documentation Historique de l’armée (C.D.H.) au Quartier Reine Elisabeth à Evere (à côté de l’OTAN). Les affectations de tous les militaires belges s’y trouvent reprises. Beaucoup plus de questions que de certitudes donc. Par contre, en ce qui concerne les mortiers Van Deuren, je possède pas mal d’explications les concernant, étant donné que j’ai effectué plusieurs recherches à leur sujet. Je vous en livre les résultats, même s’ils ne sont pas encore tout à fait complets. LES MORTIERS VAN DEUREN (143 pièces) 1 – REMARQUE Initialement le régiment de forteresse de Liège (RFL) comporte un groupe à huit batteries de MVD: 4 batteries (de 12 MVD-58 C/L chacune) et 4 batteries (de 12 MVD-70 chacune). Le 22 avril 1940, le groupe est dissout. Les 4 batteries de MVD-58 C/L forment un groupe de 4 batteries qui passe aux ordres du régiment de forteresse de Namur (RFN) avec 4 x 12 MVD-58 C/L. Les 4 batteries de MVD-70 sont éparpillées en 3 batteries indépendantes qui défendent les écluses du canal Albert (3 x 12 MVD-70). 2 pièces sont envoyées au fort de Battice (2 MVD-70) et le reste est envoyé au régiment de forteresse d’Anvers (10 MVD-70). 2 – SITUATION LE 10 MAI 1940 3 Batteries indépendantes (36 pièces) 1ère Batterie indépendante commandant Houbeaux: 12 MVD-70 (écluses du canal Albert) 2e Batterie indépendante commandant Van de Kerckhove: 12 MVD-70 (écluses du canal Albert) 3e Batterie indépendante commandant Malherbe: 12 MVD-70 (écluses du canal Albert) IVe Groupe/3 RAA (36 pièces) 3 batteries de 12 pièces chacune (? MVD-58 C/L + ? MVD-70) 1 Groupe dépendant du RFN commandant Delvaux (48 pièces) 1ère Batterie commandant Henrion: 12 MVD-58 L (PFN) 2e Batterie commandant Dewez: 12 MVD-58 L (PFN) 3e Batterie commandant Duquenne: 12 MVD-58 L (PFN) 4e Batterie commandant George: 12 MVD-58 L (PFN) Fort de Battice (2 pièces) 2 MVD-70 Régiment de forteresse d’Anvers (21 pièces) Le reste: 10 MVD-70 + de 1 à 10 MVD-90 + de 1 à 10 MVD-120 3 – CARACTERISTIQUES DU MATERIEL Mortier Van Deuren 58 C (n°2 français) Mod-191? Unités: Cadence de tir: 2 c/min Plate-forme: 1,10 m x 1,10 m (type MVD-58 L) Munition: bombe 16 (16 Kg) ou bombe LS (18 Kg) ou bombe DLS (35 Kg) Portées minimum: 200 m (16) ou 400 m (LS) ou 250 m (DLS) Portées maximum: 600 (16) ou 1.250 m (LS) ou 670 m (DLS) Angle de tir fixe: 45° - Secteur de tir: 1.400 millièmes Transport: chariots (1914-1918) – camion (1939-1940) Poids en batterie (avec plate-forme): 553 Kg (plate-forme 396 Kg + affût 97 Kg + tube 60 Kg) Service (5 H): 1 chef de pièce (Mdl ou Bd) + 1 tireur + 1 pointeur-chargeur + 2 amorceurs-pourvoyeurs Charges placées par 2 ou 3 dans des boîtes étanches en fer blanc Mortier Van Deuren 58 L Mod-1918 Unités: Cadence de tir: 3 à 4 c/min Plate-forme: 1,10 m x 1,10 m (type MVD-58 L) Munition: bombe 0-2 (23 Kg) ou bombe 0-5 (37 Kg) Portées minimum: 500 m (0-2) ou 300 m (0-5) Portées maximum: 2.000 m (0-2) ou 1.450 m (1400) (0-5) Angle de tir fixe: 45° - Secteur de tir: 1.400 millièmes Transport: chariots (1914-1918) – camion (1939-1940) Poids en batterie (avec plate-forme): 567,5 Kg (plate-forme 396 Kg + affût 97 Kg + tube 74,5 Kg) Service (5 H): 1 chef de pièce (Mdl ou Bd) + 1 tireur + 1 pointeur-chargeur + 2 amorceurs-pourvoyeurs Charges placées à demeure dans la queue de la bombe Fusée 24/31 PR mod-16 AR ou SR (avec ou sans retard) Mortier Van Deuren 70 Mod-1915 Unités: Cadence de tir: 3 à 4 c/min Plate-forme: 1,10 m x 1,10 m (type MVD-58 L) Munition: bombe 0-1 (19 Kg) ou bombe 0-4 (35 Kg) Portées minimum: 300 m (0-1) ou 200 m (0-4) Portées maximum: 800 m (0-1) ou 425 (450) m (0-4) Angle de tir fixe: 45° - Secteur de tir: 1.400 millièmes Transport: chariots (1914-1918) – camion (1939-1940) Poids en batterie (avec plate-forme): 523,5 Kg (plate-forme 396 Kg + affût 97 Kg + tube 30,5 Kg) Service (5 H): 1 chef de pièce (Mdl ou Bd) + 1 tireur + 1 pointeur-chargeur + 2 amorceurs-pourvoyeurs Charges placées par 8 dans des boîtes étanches en fer blanc Fusée 24/31 PR mod-16 AR ou SR (avec ou sans retard) Mortier Van Deuren 90 Mod-1916 Unités: Cadence de tir: 0,5 c/min Munition: bombe G-1 (80 Kg) ou bombe G-4 (120 Kg) Portées minimum: ? m (G-1) ou ? m (G-4) Portées maximum: 2.000 m (G-1) ou 1.400 m (G-4) Angle de tir fixe: 45° - Secteur de tir: ? millièmes Transport: chariots (1914-1918) – camion (1939-1940) Poids en batterie (avec plate-forme): 2.400 Kg (plate-forme ? Kg + affût ? Kg + tube ? Kg) Service (? H): Mortier Van Deuren 120 Mod-191? Unités: Calibre: 120 mm Portées minimum: ? m Portées maximum: ? m Dans l’espoir d’avoir répondu au mieux à vos interrogations, je vous prie de croire, Monsieur Dome, à mes salutations amicales. Eric Simon Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante 1. Monsieur Buigues, Pour tenter de répondre à votre question, je l'ai soumise à notre plus grand spécialiste en la matière, Mr Luc Malchair (Vous pouvez admirer - le mot n'est pas exagéré - son excellent travail en visitant le site: http://www.thissen-laboratories.com/iff/). Voici sa réponse : A priori, cela ne me dit rien du tout. C'est la première fois que j'entends ce nom là. Charleroi l'espagnole, après avoir été prise par Vauban en 1693, verra les fortifications de sa ville haute modifiées. Il y aura six bastions principaux, à savoir ceux d'Orléans, du Roy, du Dauphin et de Turenne, ce qui reste dans le grand classicisme des dénominations d'ouvrages du genre dans plusieurs places fortes, ainsi que celui des Gardes et le bastion Montal. Je ne vois rien qui corresponde à Montal, si ce n'est un château du Lot et que Montalembert, dont on pourrait penser qu'il s'agit d'une vulgaire abréviation, ne naîtra qu'en 1714... Bref, Manteux en est-il une déformation, ou bien du nom d'un petit hameau qui m'échapperait (ce qui est + que possible) voire d'un lieu-dit ? Je dois avouer mon incompétence en la matière. Très souvent, au cours du temps, les éléments extérieurs d'une place bastionnée, tels les ouvrages à cornes, les couronnes, etc., recevaient des dénominations particulières. L'attribution de la qualité de "fort" se faisait en général pour des éléments détachés qui n'étaient en fait que d'authentiques demi-lunes, souvent casematées et reliées à la place par un chemin couvert que l'on désignait parfois, quand bien même ce chemin faisait plusieurs centaines de mètres de long, du nom de "caponnières". On en trouve des exemples concrets avec le fort Saint-Sébastien à Bitche et le fort Condé à Givet. Désolé de ne pas pouvoir vous aider plus. 2. Monsieur Buigues, J'ai enfin trouvé quelqu'un connaissant le fort Manteux. Je vous livre"en vrac" ce qui m'est parvenu: - Faire recherche avec Google sur "Manteux" >>> Explosion du fort par mercenaires de l'Empereur, +/- 1.500 morts (?) - Situé au Nord de Charleroi, donnant sur la petite ceinture, il existe toujours une "Rue du Fort" (Carte De Roeck) - La carte du Cabinet des Pays-Bas Autrichiens du comte Rerraris (1777) doit certainement le reprendre. Cette carte doit être disponible soit à l'IGN, Bois de la Cambre, Bxl, soit chez Dexia Banque Belgium, Bld Pachéco, 44 à 1000 Bxl. Cette carte se rapproche très fort du 1/25.000e. Le fort Jaco (Waterloo) y est repris et doit dater de la même époque. - Probablement un fort en terre, sans beaucoup de maçonnerie, mais alors, d'où viendraient les 1.500 morts ? - Peut-être en rapport avec la construction de la ville de Charleroi vers 1655. Vous pourriez éventuellement chercher un groupement historique de Charleroi qui, logiquement devrait en savoir plus qu'à Liège. Je vous souhaite bon succès dans vos prochaines recherches. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Madame, Malgré nos recherches, nous n'avons pas trouvé les plans qui vous intéressent. Un exemplaire de traction canine existe au musée du fort de Loncin (charrette tirée par 2 chiens, avec mitrailleuse sur la charrette). Peut-être ont-ils des plans? Si vous désirez les contacter: +324/246.44.25 ou +324/246.32.72. Vous pourriez adresser votre demande au MRA () ou vous y rendre. Bon succès dans vos recherches. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Fiévet, D'une part, nous ne savons donner aucun renseignement concernant des personnes. D'autre part, nous sommes très pauvre en ce qui concerne les camps de prisonniers (juste une liste des camps et une carte). Aussi, je vous conseille d'adresser votre demande à la FNAPG (Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de guerre), Avenue de Stalingrad, 76 à 1000 Bruxelles. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Lovenfosse, Aucune de mes recherches ou de mes contacts ne me permettent de vous aider. Je ne peux que vous conseiller de prendre contact avec le "Musée herstalien, Place Licourt, 25 à 4040 Herstal". La Présidente de cette ASBL est Madame Marcella COLLE. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Hours, Merci pour vos renseignements. J'ai montré votre message à quelques de nos habitués des réunions hebdomadaires que ce domaine intéresse. Avez-vous visité le site de notre membre Mr Luc Malchair: http://www.thissen-laboratories.com/iff/ Voici son adresse mail: Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Madame Gérard, Notre association s'occupe plus généralement de fortification et d'histoire militaire en général. C'est pourquoi, nous sommes incapables de répondre à des demandes concernant des personnes bien précises, d'autant plus que vous n'indiquez pas les éléments d'identité et tout ce que vous savez déjà sur ces personnes. Je ne peux donc que vous conseiller d'adresser votre demande à la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (FNAPG), 76, Avenue de Stalingrad à 1000 Bruxelles. Indiquez dans votre demande TOUT ce que vous savez sur ces deux personnes afin de permettre aux chercheurs d'avoir le plus de chance de trouver sans se perdre sur des pistes inutiles. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Lejeune, Vous avez certainement dû vous tromper en nous envoyant ce message au lieu de l'adresser au CRIBA. En effet, c'est au Centre de Recherches et d'Information sur la Bataille des Ardennes que vous trouverez les plus grands spécialistes de la question, dont Monsieur Marquet. Je vous conseille donc d'envoyer ce message au gestionnaire du site http://users.skynet.be/bulgecriba/, Monsieur Henri Rogister dont l'adresse est: . Pour votre information, celle de Monsieur Marquet est: . Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Bonjour, A Liège, il existe une école d'armurerie renommée: Ecole Léon Mignon Tel: +324 223 71 08 - Fax: +324 223 20 29 Mail: info@ leonmignon.org Le mieux, c'est de les contacter pour les renseignements qui vous intéressent. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Leclercq, Effectivement, peu de littérature à ce sujet. Nous avons édité un artcle de 12 pages dans notre bulletin T VIII- F 1. Il s'agit de "Mons, une des plus fortes places de guerre des temps modernes" écrit par Mr Bruno Van Mol, Ingénieur civil au MET Si vous désirez vous procurer ce bulletin, il vous suffit de verser 5 € sur notre compte (voir ci-dessous) et l'envoi se fera le jeudi suivant la réception de notre extrait de compte reprenant votre paiement (Communication: T VIII - F 1). C'est tout ce que nous avons et nous ne connaissons pas d'autres écrits. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur C..., Malgré des recherches assez poussées, nous n'avons pas pu trouver d'éléments de réponse. Vous devrez essayer d'autres pistes. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Madame Chenel, Je n'ai trouvé personne qui puisse répondre à votre question. Notre Président vous conseille d'adresser votre demande au Service historique de la Police, Avenue de la Force Aérienne, 33 à 1040 Bruxelles (Tel: 02/642.69.29 - Fax: 02/642.63.69. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Berghmans, Nous n'avons pas connaissance de ce genre de livre sous forme électronique. Nous avons en notre bibliothèque un exemplaire de ce livre pour 1914-1918 et un pour 1940-1945. Mais il en existe d'autres. En effet, plusieurs tomes ont été édités pour chacune des 2 guerres mondiales qui reprennent les photos et noms des titulaires de la "Carte de feu" et la décoration appelée "Croix de feu". Je ne peux donc que vous conseiller de faire les brocantes pour espérer acquérir l'un ou l'autre exemplaire. En attendant, renseignez-vous dans les bibliothèques publiques et/ou au MRA (Musée Royal de l'Armée). Vous pourriez aussi vous adresser à la FNC: FEDERATION NATIONALE DES COMBATTANTS DE BELGIQUE (F.N.C.) Rue du Boulet 27 - 1000 BRUXELLES Président NATIONAL: M. Paul MULS Tel: +322/511.75.54 Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Dubuisson, La documentation existante sur ces armes est très vaste et nous n'en possédons qu'une partie. Celle-ci a trop de volume pour pouvoir vous être communiquée. Si vous n'habitez pas trop loin, je ne peux que vous conseiller de devenir membre de notre association en vue d'avoir accès à notre bibliothèque et d'y emprunter des ouvrages sur ces sujets. Sinon, vous devrez vous rabattre sur des bibliothèques de votre région ou vous rendre au Musée de l'Armée. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante 1. Mademoiselle Mathoul, Je ne sais pas vous aider directement au sujet de votre demande, mais j'ai transmis (après quelques corrections orthographiques) votre demande au CRIBA. Si vous ne connaissez pas cette association, visitez son site: http://users.skynet.be/bulgecriba/ 2. Mademoiselle Mathoul, Le bulletin n° 3/2004 (dernier numéro paru) du CRIBA comprend un article sur la 9e Division d'Infanterie US dont faisait partie le 60e Bataillon. Ce bulletin comprend aussi les différentes procédures possibles pour pouvoir retrouver un soldat US de la 2e guerre. Je ne peux donc que vous conseiller de vous le procurer. Pour ce faire, veuillez demander au trésorier du CRIBA, Mr Louis Jonckeau les modalités de commande. Son adresse est: Bonne chance dans la suite de vos recherches. 3. Mademoiselle Mathoul, Suite à la ventilation de votre demande auprès de plusieurs de nos membres, voici un texte reçu à ce sujet qui pourra vous donner quelques pistes pour votre recherche: "Monsieur Britte, le secrétaire du CLHAM m'a fait parvenir un Email, daté du 4 juin, en provenance de Mme Laura Mathoul de Stavelot. Celui-ci concerne un GI de l'époque 44-45 nommé Lawrence HANSEL. On donne très peu de renseignements pour orienter les recherches! Pas de période exacte, ni l'endroit où se trouvait le café de ... l'arrière grand-mère, cela étant une déduction personnelle à la lecture de l'E Mail en question. Sur les seules indications données on peut supposer qu'il s'agit d'un soldat de la Compagnie I du 60e Régiment d'Infanterie (9e Division d'Infanterie de l'armée américaine). Henri Rogister, (Webmaster du CRIBA) adresse http://users.skynet.be/ bulgecriba>, interrogé sur le nom du soldat m'a signalé que le nom de Lawrence HANSEL n'apparaissait pas sur le listing des morts de l'US Army sur le front européen de 1944 à 1946. Donc il a bien survécu, au conflit. APO signifiait Army Post Office. 9 pour neuvième division d'infanterie, 40 le numéro du Maître des Postes (ou plutôt dans ce cas, du percepteur des postes du bureau de distribution). NY est le site de localisation. Le 16 septembre 1944, ce bureau militaire de la poste de l'armée américaine se trouvait à Esneux. Le 18 septembre on le situait à Eupen. En novembre à Elsenborn. Le 11 décembre 1944 il se trouvait à Stolberg, en Allemagne. Le 12 février 1945 on le situait à Montjoie et le 21 mars 1945, il se trouvait à Remagen, en Allemagne. Des associations de vétérans de différentes unités de l'armée américaine existent aux USA. Sur un listing daté de novembre 1996 émanant du Département des armées US, (Washington) on trouve l'indication de la 9th Infantry Division Association: Mr Daniel QUINN, 412 Cregory Avenue WEEHAWKEN NJ 07087-5602 phone 210/866-8195. Henri Rogister, ci avant nommé, donne une autre adresse dont j'ai vaguement retenu le libellé: Mr CALKBEGE 1284 Fastzen Drive à Memphis, dans l'Ohio, 44913-8736. A recontrôler éventuellement auprès de l'intéressé. Je possède également un autre document américain qui donne l'information suivante: Service de Recherches de personnes physiques. Pour répondre à beaucoup de situation d'urgence où la localisation de personnes est indispensable, la CSRA Inc fournit aussi au public un service de recherche pour déterminer la situation de personnes perdues de vue (si elles sont encore en vie)et leur lieu de domiciliation si possible. Ce service utilise les renseignements disponibles publiquement sans empiéter sur la vie privée. Coût (en 1996) 15 $. Veuillez envoyer votre demande par courrier avec toutes les informations qui s'y rapportent. Adresse: CSRA Inc (Cambridge Statistical Research Associate Inc) 760 WHEELING Avenue, Cambridge - Ohio 43725 phone (614) 432-6400, Fax (614) 439-1354 Pierre Gosset" Si vous en apprenez plus, il nous serait agréable d'être tenu au courant. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Christiaens, Depuis toujours, la Suisse a été, a voulu être et veut rester neutre. C'est la seule raison pour laquelle ce pays s'est doté de fortifications. La Suisse a basé sa défense sur un réduit national situé dans le N-E du pays et le reste a été préparé pour du combat retardateur. Ce pays est réellement truffé de fortifications dissimulées principalement dans les montagnes, mais aussi en plaine. Voyez sur notre site le résumé de notre périple là-bas et les photos prises à cette occasion. Si vous avez l'intention d'approfondir ce sujet, faites des recherches internet et/ou allez sur place. Nous serions intéressé par toute documentation inédite sur ce sujet. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Antoine, Après m'être adressé à plusieurs autres membres de notre association, je ne peux malheureusement pas vous donner de réponse à ce sujet. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Madame Suc, Nous sommes dans l'impossibilité de répondre à votre question. Je ne peux que vous conseiller de transmettre votre demande au CRIBA (Centre de Recherche et d'Information sur la Bataille des Ardennes) - http://users.skynet.be/bulgecriba ou encore au Musée du Génie - http://www.geniemus.be Vous pourriez également écrire (courrier postal) à Monsieur H. de Pinchart, Avenue de l'Equinoxe, 6 à 1200 Bruxelles, qui est l'éditeur de la revue belge de documentation militaire sur la seconde guerre mondiale "Le combattant 1940-1945". Je me permets de vous prévenir qu'il est très, très difficile de trouver des informations à ce sujet. Il faudra donc vous armer de patience, espérer et persévérer. Bonne chance dans vos recherches. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Madame Bachoffer, L'auteur de ce texte est un ancien Chef de Corps du 1 Lanciers. Nous n'en savons pas plus. Vous pourriez envoyer une demande avec quelques explications à: Au Commandant du 1/3 Régiment de Lanciers Quartier Camp Roi Albert Route de Liège, 65 6900 Marche en Famenne Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Kamp, Voici l'adresse d'un petit fils du Général, Monsieur Paul Briamont (remarquez qu'un "l" s'est perdu dans la descendance). Je vous propose de lui poser directement votre question.
Si vous obtenez une réponse favorable, nous vous serions reconnaissants de nous faire partager ces renseignements. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Grégoire, Voici ce que notre Président, le Col Gie er Gilbert SPOIDEN répond: "J'ai été Commandant de peloton au 4e Gp Mob à Vottem en 1957/1958 et en 1959/1963 (Esc EM-Comd Pl Engins). "Il n'y avait pas de fortin en face du corps de garde et le couple élevant des animaux de basse-cour vivent dans une maison à l'entrée de la Rue Verte Voie en avant du corps de garde actuel construit en 1986. "La caserne du 4e Gp Mob a été construite pour l'artillerie anti-aérienne peu avant 1940." Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Denis, Jusqu'à présent, aucun membre interrogé n'a pu me donner d'éléments de réponse pour votre question. Je ne peux que vous conseiller de faire des recherches auprès de Fédérations, d'Amicales ou de Fraternelles d'Anciens Combattants françaises. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante 1. Monsieur Sébastien, Nous ne possédons aucune documentation au sujet de ces forts. Force nous a été de constater que la PFN n'a pas suscité autant d'intérêt que la PFL et donc qu'il n'a été édité que de rares ouvrages - mais aucun sur ces 2 forts. Il existe peut-être des documents au MRA, au CDH ou au CEGES. Nous apprécierions tout résultat de recherches sur cette PFN. Cordialement, 2. Monsieur Sébastien, A son retour de vacances, j'ai transmis votre demande à notre spécialiste en fortifications, Mr Emile Coenen. Voici ce qu'il répond: Il est vrai qu’il n’existe que très peu de publications sur la P.F.N.. Néanmoins, je suis en possession d’un livre, d’une cinquantaine de pages, réalisé par le Commandant L’Entrée, sur le fort de Saint-Héribert. Il contient un petit récit sur les évènements de 1914 et le récit des combats de 1940, tirés de son carnet de campagne. Le livre offre également une trentaine de photographies, dont certaines des dégâts du massif central. Ce livre n’a pas de nom d’éditeur mais a été réalisé par la fraternelle en 1960. Il existe également, à la bibliothèque du C.L.H.A.M., une publication réalisée par Mr Harlepin traitant des forts réarmés. Dans ces deux tomes, il y a de nombreux plans des forts de Namur et bien évidemment de Malonne et de Saint-Héribert. Vous comprendrez aisément, qu’il est impossible de vous scanner le livre consacré à Saint-Héribert. Néanmoins, si vous le désirez, je peux vous en faire une photocopie et vous la faire parvenir, moyennant le remboursement des frais. Pour le travail de Mr Harlepin, je crois savoir qu’il est épuisé depuis des années. A ma connaissance, il n’y a pas eu de publication faite sur le fort de Malonne. A vous maintenant de décider de la suite. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Judice Veuillez consulter la page de notre site: http://clham.org/050516.htm#00 et peut-être essayer de vous procurer le guide qui y est indiqué en début du texte. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Frérard, Merci de votre intérêt pour notre site et pour vos félicitations. Ancien militaire de carrière aux Recce, j'ai eu l'occasion de passer de nombreuses périodes de camp à Vogelsang et je me suis aussi intéressé à son histoire. Cependant, je ne peux pas vous donner de réponse précise quant à ces documents disparus. Je ne peux supposer que: - soit les documents ont été brûlés; - soit, lestés et jetés dans le lac; - soit une partie aurait été évacuée plus tôt. Dans ce cas, il est peut-être possible d'en retrouver dans les archives militaires à Koblenz. Mais, pour y accéder, s'il en existe, il faut non seulement parler l'allemand et se rendre sur place, mais aussi être prêt à y mettre le prix car cet organisme demande des frais exorbitants. Si vous trouvez des renseignements qui pourraient compléter notre documentation, cela nous plairait d'en être informé. Concernant la date reprise dans le texte du site, il faut lire 1936 bien sûr. Merci de m'avoir communiqué cette erreur. La correction sur le site sera effective à la prochaine mise à jour. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Berghman, Je ne trouve malheureusement aucune trace d'effectif US à cette adresse. Ce qui ne veut pas dire que vos suppositions ne sont pas exactes. En effet, il y eût tellement de petites unités - dont on ne soupçonne même pas l'existence - qui se sont réparties dans Liège (Exemples: unité "Transportation", "Disbursing", "Chemical", etc., etc.). Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Decat, Le "commandant" Debosse de Villenfagne nous est totalement inconnu. Je ne peux que vous conseiller d'adresser votre demande au MRA ou aux professeurs d'histoire d'universités en espérant qu'un de vos collègues historien pourra vous venir en aide. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Leleu, Ce livre est intitulé "L'armée belge de France", par le Colonel Jamart et est en vente au Musée Royal de l'Armée. Je ne sais pas si le MRA fait de la vente par correspondance. Vous pouvez poser la question à l'adresse Tel: 02/737.78.33 - site: http://www.klm-mra.be Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Lisse, Un de nos membres connaît le titre du livre dont question, mais pas le nom de l'auteur, ni celui de l'éditeur. Il s'agit de "Le repaire du loup". Je pense qu'en faisant quelques petites recherches sur Internet ou dans une bonne bibliothèque, vous devriez le retrouver assez facilement. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Lisse, Je ne peux que vous diriger vers les archives officielles allemandes. Voir la page "VOS recherches, ..." de notre site où vous trouverez adresse et commentaire au sujet de cet organisme. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante Monsieur Bodor, Nous ne pouvons vous aider si ce n'est en vous conseillant de vous adresser aux Bundesarchiv, mais en vous prévenant aussi que vous risquez de devoir dépenser une somme conséquente. Voyez la lettre adressée à un de nos membres suite à une demande de renseignements. Cette lettre est le fichier .jpg joint à la présente. Retour au début de la page "Courrier (2004/3)" ou à la question correspondante |
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