Comme vous pouvez le constater, nous ne vous avons pas oublié, mais il a fallu du temps pour retrouver des renseignements corrects. Vous trouverez un texte en fichier .doc attaché. Cela concerne "Gravioule". Quant à "Gerlache", nous n'avons rien et je ne peux que vous conseiller de vous tourner vers des sites traitant de généalogie. Texte du fichier .doc : GRAVIOULE Il n'est point nécessaire d'être un grand philologue pour découvrir le mot gravier dans Gravioule. Aussi est-ce la traduction qu'en ont donné tous ceux qui se sont occupés de cette vieille expression? Chose curieuse, jusqu'à présent, on n'a pas déterminé la raison d'être de la finale où le du nom de la localité. Nul n'ignore pourtant que cette finale, jadis fort usitée à Liège, indique un diminutif Pour dévoiler le mystère, il faut se rendre un compte exact de l'ancienne topographie locale. Celle-ci, il est vrai, a été totalement transformée. Il y a sept et huit siècles, plus même, la Meuse, en aval du pont des Arches et jusqu'à Coronmeuse, n'avait pas l'ampleur qu'elle possède de nos jours. Si ses flots recouvraient l'emplacement des ports et d'une partie des quais de la Batte et de Maastricht, elle était, en revanche, partagée en plusieurs bras d'eau qui servaient: le principal, à la navigation, les autres, à activer des moulins de drapiers, etc. Ce sectionnement de la Meuse en dessous du pont des Arches subsistait dans la seconde moitié du XVIe siècle. La construction de la Batte apporta, cependant, des changements dans la condition du fleuve, de ce côté . Les divers bras de rivière étaient séparés par des îles, de formes et d'étendues variées. L'une d'elles, la plus vaste sans doute, qu'on voyait entre ce que nous appelons le quai des Tanneurs et le quai de Maastricht, était dite l'île du Grand Gravier, et parfois en Gravier tout simplement. Cette appellation continuait d'être en vigueur au XVe siècle. C'était évidemment pour établir une distinction entre l'île dite du Gravier ou du Grand Gravier, et l'endroit dont nous allons parler, qu'on appelait celui-ci Graveroule, c'est-à-dire Petit Gravier. Graveroule est le vocable primitif. Nous l'avons rencontré dans l'obituaire de Saint-Denis du XIIIe siècle et dans d'autres documents non moins anciens. Jean d'Outremeuse l'a employé, au XIVe siècle. Le terme l'était encore durant tout le XVe et au commencement du suivant. A la fin du XVe, néanmoins, on commençait à écrire Graviroule , mais l'expression Gravioule, par contraction, allait bientôt devenir générale . La dénomination alors ne s'appliquait pas seulement à la partie dite maintenant rue Gravioule; elle s'étendait à toute une vaste circonscription comprise, de ce côté, entre la Meuse et le bras de rivière qui passait à l'emplacement du boulevard de la Constitution. Il en a été de la sorte depuis une depuis une époque extrêmement reculée. Gilles d'Orval, chroniqueur de la première moitié du XIIIe siècle, ne dit-il pas que l'église qui devait servir bientôt au monastère des Ecoliers, a été fondée en 1234, «dans le lieu appelé de toute antiquité Graveria (Gravioule) là où deux rivières, la Meuse et l'Ourthe se réunissent?» I1 n'est pas impossible de se faire une idée de l'aspect de Gravioule en ces temps éloignés. C'était une île. Pas de doute à cet égard. Gilles d'Orval l'affirme et de nombreux faits en témoignent. On peut ajouter qu'elle était d'origine essentiellement alluviale. Les crues périodiques du fleuve l'auront successivement agrandie et auront exhaussé son niveau, tandis que le courant impétueux des eaux accumulait sur les rives, le gravier qui devait prêter son nom à l'île tout entière. Seulement, comme le gravier était moins abondant ici que sur l'île proche, gisant au milieu de la Meuse, l'une fut dénommée le Grand Gravier, et l'autre Graveroule ou Petit Gravier. Précisément parce qu'elle était de provenance fluviale, l'île appartenait de droit, comme tout bien sans maître, au prince et aussi à la Cité. Voilà pourquoi Jean d'Outremeuse, en décrivant la partie du territoire d'au delà du fleuve, qui, prétendument, aurait été transmise, l'an 979, aux des Prés, a soin d'indiquer que ce domaine s'arrêtait en Gravioule. C'est seulement au XIVe siècle que la Cité et le prince Adolphe de La Marck disposèrent d'une grande portion de ces biens en faveur du métier des tanneurs. Un pré ample et luxuriant, dont jouissait la population des environs, étendait alors sa verdure sur tout le Gravioule que n'occupait pas le prieuré des Ecoliers. L'unique partie dépourvue de végétation était celle que côtoyait la Meuse. Sur cette rive, s'étendait, comme nous l'écrivions plus haut, le banc de Gravier dont le nom s'est transmis à la localité et devint, dès le début du XIVe siècle, un nom de famille. Gravioule ne devait plus être à l'état d'île à cette époque. L'acte de cession fut conclu le 21 mai 1333, entre les maîtres (bourgmestres), les échevins, les jurés, le Conseil et «toute li universiteit delle cité de Liège», Piron des Balances cearier (receveur) qui représentait le prince, d'une part; Collin dit aux Nales et Jacquemin dit de l'Isleau, tanneurs, délégués du métier des tanneurs, d'autre part. Ces derniers acquéraient ainsi, en rendage perpétuel, deux pièces de terre situées en Gravioule entre le prieuré (aujourd'hui caserne) des Ecoliers et la Meuse, et à côté d'autres parcelles déjà occupées par divers tanneurs individuellement. Parmi les points de démarcation tracés à ces portions de terre, dans l'acte du XIVe siècle, il est question d'un tilleul qu'on dit avoir subsisté jusqu'au XIXe siècle. I1 s'élevait à droite de l'emplacement de la rue Rensonnet, où se trouve maintenant l'angle Nord-Est du manège des Ecoliers. Tels étaient sa vigueur et son développement que, sous ses branches, trois centaines d'hommes, affirmait on, pouvaient se mettre à couvert. Une autre indication intéressante de cette charte, c'est la mention faite, pour la première fois à coup sûr, de la rue Gravioule proprement dite. I1 y est stipulé, en effet, qu'entre les deux parcelles de prés cédées aux tanneurs, et les murs des Ecoliers, il devra exister une voie de six pieds de largeur. La redevance annuelle à payer par les tanneurs pour l'octroi qui leur était fait, s'élevait à vingt sous liégeois dont la moitié revenait au prince et l'autre moitié à la Cité. En même temps que la Cité et le prince décidaient cette cession, ils réglèrent la destination du restant du pré de Gravioule. Il devait demeurer à jamais commons aisemences, c'est dire terrain d'un usage public. Interdiction était faite de l'enclore ou de le limiter d'une façon quelconque, d'y enlever le gazon, d'y laisser paître les bestiaux, s'il devait en résulter des inconvénients. Les chefs de la Cité et de la Principauté s'engageaient à ne pas vendre ce terrain, à ne pas le donner, accenser ou aliéner. Le métier des tanneurs, dont les membres étaient presque les seuls à profiter du pré, avaient soldé aux autorités compétentes une somme de «quarante libres (livres) de Tournoix petit» pour obtenir qu'il conservât cette destination commune. Celle-ci ne l'était vraiment que trop, à preuve cette singulière clause que nous reproduisons en vieux français intentionnellement: «De costet vers Mouse, si avant que li gravier sextenderat, nus (nul) ni porat par couvent fait curreir (mettre au vert), ne aultre chose faire que ce ne soit le comon aisemences de faire le necessiteit de corps humaine». Quant à la partie du pré où tout le monde pouvait mettre au vert, l'indélicat qui aurait enlevé là une pièce de toile ou autre chose étalées pour sécher ou blanchir, encourait une amende de trois sous de Tournois petits. Le pré de Gravioule fut soumis très longtemps à ce régime et à ce mode d'utilisation, bien que le prince et la Cité aient fait parfois servir l'endroit à d'autres usages. Ainsi Gravioule est-il cité dans la Paix de Saint-Jacques de l'an 1487, comme un des lieux où l'on doit déposer les immondices. En 1594 encore, défense était faite aux habitants d'Outre Meuse de «jeter ni tapper cendres dans les rues et rieux»; il fallait les porter «sur les remparts et sur la place de Gravioule». Durant une courte période de l'année pourtant, une destination plus relevée fut, dès le milieu du XIVe siècle, réservée à cette place. En 1350, en effet, le prince Englebert de La Marck, ayant établi une foire générale annuelle au lieu des deux qui existaient antérieurement, lui fixa Gravioule pour emplacement. Cette foire commençait au jour de l'octave de la fête de Saint-Lambert. L'aspect du lieu avait subi de profonds changements à la fin du siècle précédent, lorsque Jean Curtius vint établir deux moulins sur le cours d'eau dont il avait obtenu l'octroi du prince Ernest de Bavière le 4 mars 1589, cours d'eau qui coulait à l'emplacement de la rue Curtius et qui fut comblé en 1872. Les tanneurs cherchaient plus que jamais à tirer parti de leurs biens de Gravioule. Ils mirent même en rengage le 11 septembre 1592, les deux tiers de leur propre jardin, en faveur d'un charpentier, Jean Aymond. En 1658, une autre partie de leur jardin fut livrée aux enchères publiques devant les échevins de Liège. Répondant à une ordonnance du prince, le métier lui fournit le 4 avril 1664, une série de titres prouvant suffisamment «la réelle et immémoriale possession de la place de Gravioule par les tanneurs». Cela n'empêcha pas la Cité, en 1704, de soulever, derechef, la question de propriété de ces terrains. La corporation des tanneurs ne manqua pas l'occasion d'établir, d'une manière irréfutable, à l'aide de documents nombreux et surtout de la charte de 1333, ses droits sur ce bien foncier. La production de ce dernier titre parut convaincante. Les terres de Gravioule restèrent acquises aux tanneurs, qui n'eurent plus, à ce point de vue, aucun embarras, jusqu'au jour où la Révolution de la fin du XVIIIe siècle vint supprimer les corporations et s'emparer définitivement de leur avoir. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante 13.01.04 A propos de la schubinette, avez-vous quelque chose à voir avec un Monsieur Roger Willot ? A toutes fins, je vous transfère l'échange de correspondance que nous avons commencé à entretenir. Je n'ai pas encore pu lui donner des précisions à propos de cet ustensile, car ce n'est que ce soir que je retrouve d'autres membres du CLHAM auprès de qui je vais essayer d'en savoir plus. En effet, d'une part je suis trop jeune (56 ans) pour avoir connu cet engin et d'autre part, un groupe d'assidus ayant de plus vastes connaissances se réunissent tous les mardis à partir de 19 heures dans nos locaux. Ce sera donc seulement aujourd'hui la première occasion de leur poser des questions à ce sujet. Vos précisions à ce sujet nous permettent déjà de mieux cerner le sujet. Connaîtriez-vous l'origine du mot orthographié tel que vous l'écrivez ? Si j'ai la chance d'en apprendre plus, je vous transmettrai le résultat ainsi qu'à Mr Willot. En ce qui concerne le début de votre message, je me suis toujours attendu à recevoir de telles remarques, mais elles ont été plus rares que je ne pensais et ont atteint, je pense, le but poursuivi. A savoir de ne plus recevoir que rarement des messages sans nom de correspondant et ne comportant qu'une question simpliste, voire farfelue. Personnellement, je ne trouve rien de plus désagréable que de ne pas savoir qui nous écrit et d'être traité comme la machine dont nous servons (PC). Si vous en avez le temps, je vous invite à visiter les pages réservées au courrier des lecteurs et vous aurez l'occasion d'apprécier la façon dont nous "traitons" nos correspondants sérieux et corrects. A remarquer que cette rubrique ne comporte que les courriels qui peuvent apporter des renseignements à nos visiteurs. Il y en a bien d'autres, mais ces derniers sont sans intérêt pour la communauté (Exemple : demande à propos d'un parent tué pendant une des 2 guerres mondiales, recherche concernant des personnes ayant servi dans une unité encore existante, ...) Sachez enfin que je ne suis ni fâché, ni offusqué et certainement prêt à vous contacter par téléphone si vous avez envie de discuter de ce sujet. Vous pouvez aussi m'appeler un soir entre 18 et 20 heures si vous le désirez (pas les mardis soir). Mon n° : ………. Je reste à votre disposition. Un dernier point : la gestion de notre site est loin d'être ma seule activité et je déplore moi-même de ne pas pouvoir y faire des mises à jour plus fréquentes. Cela étant, meilleurs voeux pour 2004 et au plaisir de vous lire.
Bonjour Mr le Web-Mestre (R. Britte) J'accuse réception de ce message et du précédent. (NdlR : la réponse et copie du message de Mr Willot) Je vous en remercie, tant pour leur contenu que pour la célérité avec laquelle ils me sont parvenus. Je suis heureux de ce que vous ne m'ayez pas tenu rigueur d'avoir pris un ton que j'ai cru en accord avec celui que votre texte standard me semblait vouloir être. D'autant plus que ma réaction était sur la forme -qui me faisait l'effet de provenir d'un instituteur s'adressant à un gamin pris en faute, non sur le contenu avec lequel je suis d'accord. Je pense que vos éclaircissements et les miens sont le meilleur gage de ce que nos éventuels échanges ultérieurs seront aussi profitables qu'agréables - puisqu'ils nous auront permis de clarifier nos conceptions réciproques de la politesse et du respect de l'autre. A bientôt et merci.
14.01.04 Mon père alors sous lieutenant de cavalerie était prisonnier dans l'Oflag à Prenzlau - ou il a certainement dû connaître le vôtre : Ils étaient beaucoup, mais tellement les uns sur les autres ! A son retour il nous a construit la machine infernale et nous nous en sommes servi mais pas souvent. Serait-il possible d'avoir votre impression sur les plans sommaires en annexe, avant que je les envoie aux USA où j'espère trouver plus de renseignements (c'est là que j'ai vu le dernier exemplaire de schubinette dans les années soixante au musée de l'air force, pieusement conservé dans la pièce consacrée aux US airmen POWs) Un grand merci d'avance. Par ailleurs jusqu'à sa mort en 1992, mon père est resté en contact avec pas mal des amis qu'il s'était fait là bas, et pendant les annuelles réunions en Belgique de cette chambrée de Prenzlau et Fischbeck, j'ai entendu raconter anecdotes que je vous narrerais volontiers en échange de celles que vous connaissez. Par exemple · celle du pincus germanicus ? · celle des jambons en bois ? · celle des apostrophes aux feldwebels en Wallon ? · celle des trous dans la boite de lait pendant une alerte aérienne ? · celle du 21 juillet 194? · celle de la messe pour les morts du premier guide ? Merci pour ces renseignements et les dessins. Mardi passé, j'ai demandé à tous les habitués présents des renseignements à ce sujet. Malheureusement, personne n'est capable de répondre. Mardi prochain, je montrerai ces notes et dessins car cela suscite de l'intérêt. Nous pourrions aussi envisager de passer ces questions à nos membres via notre bulletin, mais cela prendra du temps : prochaine parution en mars, puis attente d'éventuelles réponses. Je connais un ancien prisonnier de guerre, mais je ne le verrai que dans le courant du mois d'avril. Concernant l'orthographe, il semble que celle que vous employez est la transcription anglaise de la Choubinette dont parle Mr Willot (déduction toute personnelle). A ce propos, vous a-t-il répondu ? Quant aux anecdotes que vous proposez d'échanger avec Mr Willot, ne pensez-vous pas qu'elles pourraient être publiées dans notre bulletin ? Je ne manquerai pas de vous communiquer tout ce qui me parviendrait à ce sujet. Début octobre 2004, nous recevions de Monsieur Gabriel BERNARD la collection (presque) complète des bulletins de l'Amicale des anciens prisonniers de guerre du Stalag XIII B. Un premier "coup d'œil" nous a permis de trouver le texte et le dessin ci-dessous. Je pense que nous savons maintenant l'essentiel sur cette "machine infernale" comme l'appelait notre premier intervenant. «CHOUBINETTE» Pour répondre à la demande du CENTRE DE RECHERCHES ET D'ETUDES HISTORIQUES DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE, voici quelques précisions sur l'origine de ce mot. Ce poêle aurait été inventé par un officier polonais, ingénieur, qui l'aurait baptisé du nom du camp polonais de SZUBIN où Il était incarcéré. Cet officier fut muté au camp de PRENZLAU... et ce petit poêle à papier fut dénommé par les Belges "CHOUBINETTE". Nous prions le lecteur de se reporter au croquis pour comprendre le processus de combustion de ce fameux poêle. Description: Le poêle est constitué de tôles de récupération de boîtes de conserve et comprend: - un socle (1) muni d'un registre (2) réglant l'entrée d'air frais - un manteau extérieur (3) - une chambre de combustion (5) munie d'un clapet réglable (6) - une chambre de cuisson (7) munie d'un conduit de cheminée (8) et d'une trémie de chargement (4). Fonctionnement: - on prépare d'abord des boulettes de papier de journaux de propagande - on échauffe la chambre de combustion (5) en brûlant quelques bouts de papier - l'air frais admis par le registre (2) suit deux directions: a) par le débit vers le foyer de combustion b) par le débit compris entre le manteau et le foyer de combustion - par la trémie (4) on charge la chambre de combustion de boulettes; il faut régler l'arrivée d'air par le clapet-foyer presque fermé, de manière à produire une combustion incomplète avec dégagement de gaz. - simultanément l'air frais s'est introduit entre le manteau extérieur (3) et la chambre de combustion (5) et trouve sa sortie par la série de petits trous pratiqués à la périphérie de la chambre de combustion (partie supérieure) - le mélange air frais et gaz dégadé par la combustion des boulettes de papier produit des flammes bleues dans la chambre de cuisson (7) - les gaz brûlés s'évacuent par des conduits de cheminée et servent aussi de tuyaux de chauffage. Nous remercions l'officier de réserve belge GOSSENS Léon, ancien de PRENZLAU, de nous avoir si bien documenté. (Extrait de "CEUX DU I A) Nos remerciements aux lecteurs qui nous aidé à percer ce mystère.. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante En ce qui concerne votre demande, je vais en parler mardi prochain à nos assidus des réunions hebdomadaires. Je ne manquerai pas de vous transmettre tout document qui pourrait vous intéresser que j'aurais pu obtenir. Help ! Jusqu'à maintenant, pas encore d'éléments de réponse ! Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante L'ouvrage auquel vous faites allusion est très certainement le livre de Roger CASTEELS et Gust VANDEGOOR: 1940 in de regio Haacht. De Belgische eenheiden op de KW-stelling. Paru aux editions Hagok à Herent en 2002. Je ne dispose plus de l'adresse des auteurs, mais vous pouvez sans problème contacter un de leurs amis de la Simonstevinstichting. Il s'agit de Monsieur Julien CANNAERTS. 30, Hallaartstraat, 2222 ITEGEM (E-mail: ). Il vous donnera les renseignements ou vous mettra directement en contact avec les auteurs. Merci de l'intérêt que vous portez à notre bulletin et joyeuses fêtes de fin d'année. Eric Simon. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Nous sommes toujours ravis d'accueillir un nouveau membre. Concernant la cotisation, vous avez deux choix : - soit vous versez 16 Euro sur le compte que vous connaissez avec la communication "Cotisation 2004" et vous recevrez le premier bulletin en mars 2004; - soit vous versez 32 Euro avec la communication "Cotisations 2003 et 2004". A ce moment, je vous envoie les 4 bulletins de 2003 et vous serez sur la liste des destinataires à partir du bulletin de mars 2004. Pour ce qui est d'autres bulletins qui vous intéresseraient, il vous suffit de m'envoyer un mail avec la liste que vous désirez acquérir, je vous fait le calcul du prix et des frais de port, et quand la somme est versée sur notre compte, cela vous est envoyé. Pour votre information : les bulletins édités sur notre site n'existent plus en format papier. Pour connaître le contenu des bulletins encore disponibles, vous trouverez leur sommaire dans les pages "Tome" de notre site
Cher nouveau membre, Merci de votre affiliation. Si l'extrait de compte reprenant votre versement est là mardi prochain, je mettrai les 4 bulletins 2003 à la poste jeudi prochain, sinon, ce sera reporté d'une semaine. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Je ne connais personne au CLHAM assez branché sur cette question. Par contre, vous pourriez contacter le CRIBA. Voir adresse de contact sur leur site : http://users.skynet.be/bulgecriba/ Je suis membre du CRIBA (passif) mais je sais que quelques personnes sont très calées. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Nous ne possédons pas de copie de l'original. Pour cela, il vous faudrait consulter les archives allemandes à Koblenz. C'est loin, et cela coûte cher. Une autre solution serait de vous mettre en contact avec Monsieur Schalich. Voici son adresse : Günther SCHALICH - Neustrasse, 57a - D52066 AACHEN. Vous répondra-t-il ? Je n'en sais rien car je ne le connais pas personnellement et il a rompu tout contact avec le CLHAM. Vous pouvez aussi, via Internet et les pages blanches de Aachen, essayer de trouver son n° de Tf. J'en profite pour faire une remarque qui sera lue, je l'espère, par toute personne confrontée à de telles situations. Je suis un des "petits nouveaux" (depuis 1999) du CLHAM et j'ai été amené a constater que certaines personnes, par leur intransigeance, leur égoïsme, leur vantardise, leur impossibilité de reconnaître leurs torts ou leur connaissance limitée, etc. arrivent, par leur attitude à faire partir de l'association des membres actifs et prêts à partager leur savoir. J'ai lutté contre ces tristes personnages et réussi à les évincer. Malheureusement, le mal est fait et il est presqu'impossible de "récuperer" ces "éléments positifs" … Et un "coup de gueule" de plus ! … R. B. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Je vous conseillerais de vous adresser au Musée Herstalien - Place Licourt, 25 à 4040 Herstal - Tél : 04/240.65.15. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Je vous livre, ci-après, quelques éléments de réponse à votre demande via le site du C.L.H.A.M. Ces renseignements proviennent du livre de M. Viatour " Seul entre Meuse et Ourthe " Le fort de Boncelles Août 1914 - Mai 1940 Editions Everling. 1914 : bilan des pertes de la garnison du fort = 8 tués Circonstances - Degée Joseph tué par une balle belge - Cornet Félix + Blétard + Mahy et Daens tués sur le parapet d'infanterie lors assaut du 6 août - Laurent Julien, observateur PO Cockerill, tué lors de sa tentative pour rejoindre le fort - Isebard décapité par un tir de l'obusier de 21 cm alors qu'il observait, via le casque de la coupole de 15 cm - Henquin tué à la coupole de 5,7 cm du saillant III. 1940 : bilan des pertes de la garnison du fort = 6 tués au fort et 2 tués à l'extérieur Circonstances - 15 mai, Hubert Louis et André Closon à la coupole pour un obusier de 75 mm n° IV - 15 mai, Jean Félix à la coupole n° III - 16 mai, capitaine-commandant Charlier et René Hurlet tués par explosion d'une charge placée devant l'entrée du fort - 16 mai, Joassin Georges abattu par un allemand lors de la reddition dans le fossé de gorge. Le 12 mai, Edgard Niverlet et Albert Robert tués lors d'un accrochage avec une avant-garde allemande à Vaux-et-Borset. Espérant avoir répondu à votre demande, veuillez agréer, Monsieur Villez, mes salutations les meilleurs Emile Coenen Espérant aussi que vous nous excuserez pour le temps pris à vous répondre. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Nous éditons pour nos membres un bulletin trimestriel. Dans le Tome VIII - Fascicule 6, on peut trouver un article de 30 pages sur cette bataille. Il contient plusieurs photos (N/B), 4 cartes, 2 organigrammes et bien sûr un texte avec de nombreuses notes et références bibliographiques. Si ce bulletin vous intéresse, vous pouvez l'obtenir en versant 7 Euro sur notre compte, avec la communication : "T VIII - F 6". Nos envois ont lieu le jeudi suivant la réception de l'extrait de compte correspondant à la commande. Bizarrement, pas de suite ! Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Après m'être renseigné auprès d'autres membres, je ne peux vous aider sinon en vous conseillant de continuer des recherches sur Internet et/ou en vous adressant à l'Office du tourisme de la ville et au Conseil communal d'Ypres. Désolé de ne pas pouvoir faire plus. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante La réponse demandée est : le 26. novembre 1943 les usines Junkers ouvraient un Centre d'Apprentissage Professionnel (CAP) à Morlanwelz, et ce sous le patronnage de la JL (Jeunesse Légionnaire) sous la direction d'Edmond Nasy. Il y avait un relais en Allemagne, à Halberstad, où il y avait un atelier wallon. Pouvez-vous transmettre ce renseignement à l'auteur de la question ? En vous remerciant déjà de ce que vous voudrez bien faire, Bien à vous, Eddy De Bruyne A Monsieur Van Zeir Tout arrive à qui sait attendre ... Le 21.01.2002, vous nous avez envoyé le texte suivant : Dans le cadre de mes recherches quant aux activités de l'industrie aéronautique allemande en Belgique pendant la période 1933-1945, la firme JUNKERS FLUGZEUG- und MOTORENBAU A.G. avait organisé un centre de réorientation pour ouvriers dans les ateliers de FN Herstal. D'après une certaine source, ce centre a quitté Herstal pour se réinstaller à CHARLEROI. Il me saurait gré d'apprendre quant à l'exactitude de ce déplacement. J'avais placé cette question dans notre courrier des lecteurs de notre site. Monsieur Eddy DE BRUYNE me transmet cette réponse : Le 26 novembre 1943 les usines Junkers ouvraient un Centre d'Apprentissage Professionnel (CAP) à Morlanwelz, et ce sous le patronage de la JL (Jeunesse Légionnaire) sous la direction d'Edmond Nasy. Il y avait un relais en Allemagne, à Halberstad, où il y avait un atelier wallon. Si vous avez des documents qui sur l'histoire militaire qui pourraient faire l'objet d'un article dans notre bulletin trimestriel, nous serions heureux de les recevoir. D'avance, merci. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Nous ne sommes pas en mesure de vous aider si ce n'est en vous donnant les coordonnées d'un de nos membres qui a fait beaucoup de recherches à ce sujet. Il s'agit de Monsieur Armand Collin, Rue des Martyrs, 5 à 4162 HODY. Je n'ai pas son n° de Tf (liste rouge). Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Concernant le récit repris dans notre bulletin, il s'agit de la suite des textes parus dans les bulletins, Tome IV - Fascicules 7 et 8 où Monsieur Pirenne, maréchal des logis au fort d'Eben-Emael, chef de poste au pont de Canne le 10 mai 1940, raconte comment il exécuta l'ordre de faire sauter le pont, fut blessé et fait prisonnier par les troupes d'assaut allemandes, puis pris le chemin de la captivité. Son récit s'arrêtait le 27 mai 1940. Le texte du fascicule 10 reprend, à la date du 25 juin, la transcription de notes écrites finement au crayon dans un petit carnet qui n'avait plus été relu depuis 1940 (10 pages dactylographiées). Monsieur Pirenne est décédé. Les trois fascicules sont en vente au prix de 3 Euro/pièce + 3 Euro de frais de port forfaitaires à verser anticipativement sur notre compte, avec la mention "T IV - Fasc 7, 8, 10". Voici les seuls autres renseignements en notre possession à propos de ce camp de prisonniers :
Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Personnellement, je m'intéresse fortement à l'armée US en 1940-1945 depuis plusieurs années. Cependant, je ne me souviens pas avoir jamais vu de photos comme celle(s) qui vous intéresse(nt). Par contre, un défilé d'une unité de la "3rd Inf Div" lieu à la fin du film "Je reviens de l'enfer avec Audie Murphy" (biographie jeunesse et guerre de l'acteur. Pourriez-vous en copier des extraits ? Je vais transmettre votre demande à mes collègues, membres assidus des réunions hebdomadaires du CLHAM. Si, d'aventure, une (des) photos souhaitée m'était transmise, je vous la ferai parvenir. Cela dit, puisque vous habitez à Liège, je vous invite à nous rendre visite un mardi soir (à partir de 1930 heures), à apprendre à nous connaître et à voir ce que nous pouvons vous offrir dans le cadre de vos activités. Merci de me faire connaître votre avis concernant ma réponse, la suite que vous lui donnerez, au moins un accusé de réception. Cordialement, Pas de suite ! Merci ! Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Pont brûlé ou Verbrande Bruch, sur le canal de Willebroek - Faisait partie de la TPG (Tête de Pont de Gand) Pour de plus amples renseignements, contactez notre membre, François POLSPOEL - 02/305.47.28 Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Je ne sais pas répondre directement à votre question, mais vous pourriez vous adresser à l'une ou plusieurs des associations patriotiques reprises dans la page Internet ci-après : http://www.inig.be/PAGES/assoc.html Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Tout d'abord, merci pour vos félicitations. En ce qui concerne "Retrouvailles", nos expériences précédentes ont démontré que le coût en espèces et en personnel étaient trop important pour le résultat obtenu. Désolé. Nous nous rattrapons par une participation aux journées du Patrimoine et d'autres activités (Ex.: en 2002, nous organisions un rallye libre sur le thème "Août 1914", en 2003, présence de près de 2 mois à l'exposition de la FRC, en 2004, participation au 90e anniversaire de la Bataille de Liège et organisation d'un forum international de la Fortification). Pour ce qui est de votre grand'père, vous devriez trouver d'importants renseignements dans la salle des archives de 1914 au Musée Royal de l'Armée et/ou en vous adressant à l'OCM (Office Central de la Matricule - Evere) si vous connaissez ce numéro. De plus, puisque vous n'habitez pas loin, pourquoi ne viendriez-vous pas nous rendre visite un mardi soir, après 1930 heures, SANS obligations de quelque sorte. Vous y apprendriez sans doute quelques "trucs" pour faciliter vos recherches, peut-être même obtiendriez-vous l'une ou l'autre réponse à vos questions. Cordialement, 25.10.03 Bonjour Monsieur Britte, Merci beaucoup pour votre prompte réponse. Pour mes recherches, je pense que je vais me diriger vers le Musée Royal de l’Armée. Je vous tiendrai au courant si je trouve quelque chose. Mon Grand père était malheureusement très discret sur cette période et c’est dommage, même si c’est compréhensible. J’essayerai de passer un mardi en soirée pour vous rencontrer. Quoi qu’il en soit, je désire être membre de votre ASBL et vais effectuer le virement. Je pense qu’il est important de sauvegarder ce patrimoine historique car les jeunes ont besoin de racines et si, en plus, elles sont glorieuses, ce ne peut qu’être bénéfique. Je vais souvent me promener ou visiter avec mes enfants les forts de Liège et je suis étonné de l’intérêt qu’ils y portent. Bonne journée Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Voici deux ouvrages que vous pourriez consulter : · 1940-1945 - La basse Meuse dans la guerre - Publication de la Société d'Archéo-historique de Visé et du Musée régional d'Archéologie et d'Histoire - Mai 1990 · Vigilo (Histoire du 2 CyFr) - Editeur responsable : Edmond Jack - 12, Quai du Ciwaize à 4170 Comblain-au-Pont ou contacter l'Amicale Nationale des Cyclistes Frontière, Mr le Lt-Col (R) J. Remy - Président national - Siège social : Rue Henrion, 24 à 4000 Liège. Si cela ne devait pas suffire, vous pouvez contacter (le soir) Mr Coenen - 0497/742106. Il pourra vous en dire plus en ce qui concerne implantation, plans, technique, ..., sauf historique pour ce qui a trait aux têtes de pont de Visé, Argenteau et abris sur Meuse près de Visé (pour les autres dans la région, voir livre sur abris PFL 1). Espérant que ces renseignements compenseront le retard de réponse, nous restons à votre disposition. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Le bulletin dont question est toujours disponible à la vente et vous pouvez donc mettre votre proposition à exécution. Savez-vous que Mr Pirenne faisait partie de la garnison du fort d'Eben-Emael (il est décédé) et que tous les prisonniers de cette garnison est restée six mois au secret dans ce camp. Même les officiers d'Eben-Emael y étaient enfermés alors qu'ils auraient dû être détenus dans un Oflag. En effet, les Allemands voulaient absolument garder secrets les nouveaux moyens employés pour la neutralisation de cette fortification : planeurs de transport DFS 230 tirés par des Ju-52, charges creuses, ravitaillements parachutés. Voici encore quelques renseignements que je possède sur ce camp : Stalag XI B implanté à Fallingbostel (près de Soltau, un peu au Nord de Hanovre (*) Nombre de prisonniers : en Jul 41 = 4.479; en Jul 42 = 5.232; en Dec 42 = 3.914; en Sep 43 = 3.725; en Avr 44 = 3.800. (*) Un peu au Nord de Hanovre (Autoroute Hanovre-Hambourg), on trouve un énorme camp militaire (équivalent de Mourmelon). Le Stalag se trouvait sur le côté Ouest de ce camp, à proximité du village de Fallingbostel. Il n'en reste plus de traces. Au Sud-Est de ce camp, existent encore des vestiges, un Mémorial et un petit Musée du camp d'extermination de BERGEN-BELSEN. Merci de me faire connaître votre avis concernant ma réponse, la suite que vous lui donnerez, au moins un accusé de réception. Pas de suite ! Merci ! Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Cette information est retirée du "Bulletin du Tank Museum ayant pour sujet la motorisation du Corps de Cavalerie". Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Ne sachant pas depuis quand vous êtes membre, je ne sais pas si vous aviez reçu les 2 bulletins "Liège libre". Ces bulletins contiennent de telles photos. De plus, puisque vous n'habitez pas loin, je vous propose de passer un mardi soir au CLHAM et d'y consulter nos archives, voir si des photos vous intéressent et trouver un moyen de les reproduire. Pas de suite ! Merci ! Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante J'ai appris récemment qu'il existe une salle d'archives consacrée à la première guerre mondiale au Musée Royal de l'Armée et qu'il est possible d'y trouver les dossiers de la plupart des membres des effectifs des unités belges participantes. Il s'agirait de faire d'abord une recherche par l'unité concernée. En plus de cette recherche, vous pourriez essayer de savoir s'il existe encore une fraternelle de cette unité et prendre contact. Pour ce faire, remontez le fil à partir d'une association d'anciens combattants, prisonniers de guerre ou politiques, ... Je ne sais malheureusement pas vous aider plus. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Il n'y a plus de caserne Fonck. Les bâtiments ont été revendus depuis plus de 3 ans et c'est devenu l'Institut Saint-Luc. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante En ce qui concerne les renseignements sur les "Comhaire", je me renseignerai auprès des habitués des réunions hebdomadaires. Si personne ne peut y répondre directement, peut-être trouvera-t-on des pistes de recherche. Pour ce qui est des membres de BXL et environs, il y en a 42 (voir liste ci-dessous). Si d'autres régions vous intéressent, veuillez me le faire savoir. Auriez-vous l'intention de faire renaître une cellule bruxelloise ? Si oui, félicitations, mais aussi bon courage car d'après ce que j'ai entendu (je n'ai pas connu cette époque), ce genre de décentralisation a déjà existé mais n'a pas tenu. Pas de suite ! Merci ! Mr Patrick Praats nous écrit: Je voudrais bien formuler une réponse pour la question sous n° CL 0134. recherchant une personne nommé Comhaire.
Voir plus sur http://www.praats.be/gefusilleerdenw02.htm Salutations sincères Merci à Mr Praats et espérons qu'il donnera l'exemple à d'autres érudits un peu ... timides. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Madame Rengear (si c'est bien votre nom !), Notre association est belge et n'a donc pas beaucoup de possibilités de recherches en France. Je vais, malgré tout, essayer de vous aider à vous diriger dans vos recherches. Dans un premier temps, envoyez votre demande écrite au Commandant de l'Ecole de Cavalerie à Saumur. Envoyez également la même demande au Commandant du 1er Régiment de Spahis à Valence. Ensuite, tentez votre chance à Vincennes (là se trouvent les archives de l'Armée française, mais je ne connais pas la dénomination de ce service). Allez aussi visiter le site du 1 Spahis ( http://historiqueregiment.chez.tiscali.fr/page69.htm ), puis essayer de prendre des contacts voir à partir de ce site, de celui de l'Amicale du 2e Spahis ( http://assoc.wanadoo.fr/spahis-2rsm/INFOS.html ), e-mail : , ... J'espère que ces petits "tuyaux" vous permettront d'avancer dans vos recherches. Je suis persuadé que vous recevrez des réponses des 2 premiers organismes. Il me serait agréable de savoir dans quelle mesure vous aurez eu du succès à ce sujet. Autre message effacé ! Madame Rengear, Je suis désolé, mais, comme signalé dans ma réponse précédente, nous sommes dans l'impossibilité de vous aider de Belgique. Je ne peux que vous conseiller d'écrire aux autorités que je vous ai signalées (le Chef de Corps du 1er Régiment de Spahis, le Directeur du Service des Archives de l'Armée, le Maire où est né Jacques Louis Caron, ...). Expliquez votre désarroi, insistez ... 21.10.03 Monsieur j'ai suivis votre conseil. J'ai eu les réponses mais ce sont des réponses négatives, je ne comprends pas que personne ne puisse trouver cette information car Caron Jacques Louis est bien né et il est bien décédé quelque part ! C'est incompréhensible. Si vous pouvez m'aider même en payant cela me serais d'un grand réconfort. Merci beaucoup, sincères sentiments. Rengear Madame Rengear, Ce n'est pas une question d'argent. J'aimerais bien pouvoir vous aider, mais que puis-je faire de Liège (Belgique) et sans connaître les services français qui pourraient répondre à votre attente. A votre place, que ferais-je ? - S'il existe une caserne proche de chez vous, j'irais m'adresser à l'officier des relations publiques. - Sinon, j'irais demander à la mairie si quelqu'un peut me donner des pistes de recherche. - Je ferais la même démarche auprès d'un ou plusieurs musées à caractère militaire. - Je ferais une recherche Internet sur des sites FRANCAIS "Première guerre mondiale" et je poserais mes questions aux adresses de ces sites. Vos deux plus gros problèmes sont de trouver un fil à tirer sans qu'il ne se rompe et, surtout, de trouver quelqu'un qui prendra le temps de vous aider, ce qui n'est pas évident de nos jours. Veuillez, s'il vous plait me communiquer ce que vous pensez de ce qui précède et, si vous avez des résultats positifs, me les faire connaître. Merci d'avance. En ce qui concerne vos messages, je vous conseille instamment de les écrire comme des lettres, comme mes réponses. Plus de suites, c'est dommage. Si quelqu'un pouvait aider cette dame, je lui communiquerais son adresse électronique. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Les membres du CLHAM contactés n'ont pas été en mesure de donner une réponse. Un de nos visiteurs serait-il plus documenté ? Monsieur Lejaille nous avait contacté pour présenter son site http://pageperso.aol.fr/Guerredesgaz/index.htm Je lui envoie donc une demande à ce sujet. Monsieur Lejaille, Par le présent message, je vous transmets 2 messages qui nous ont été adressés fin septembre dernier. A l'heure actuelle, aucune personne de notre Cercle contactée n'a été en mesure de donner une réponse à ce courrier. Extérieurement ce masque ressemble au modèle belge traditionnel, mais la boîte filtrante est beaucoup plus haute que sur nos modèles. D'autre part, l'inscription "zakonem chranëno" n'est pas tchèque (cela a été vérifié). Il faudrait peut-être orienter les recherches vers la Pologne ou la Finlande. Seriez-vous à même de donner de plus amples renseignements à ce sujet ? Si c'est le cas, vous pourriez les transmettre directement au demandeur et nous inscrire pour copie. A première vue, votre site deviendra de plus en plus intéressant, mais il a déjà le grand mérite d'exister et de présenter un sujet moins connu. Nous sommes toujours heureux de voir des chercheurs qui partagent leur savoir - c'est un de nos buts - car, encore trop de ceux-ci ont toujours la vieille mentalité de tout garder par devers eux. Je me propose d'ailleurs d'intégrer un lien vers votre site dans le nôtre et je serais content que vous fassiez de même. Si vous visitez notre site, vous vous rendrez compte que nous sortons largement du cadre de la 1ère guerre mondiale, mais je vous invite à lire les buts de notre Association à la page http://clham.org/000002.htm#00 . Nos félicitations et nos encouragements. Et sa réponse … Pas de chance ! Bonjour, Je ne suis malheureusement pas en mesure de répondre à vos questions concernant ce masque... Merci pour vos encouragements; je fais figurer, dès la prochaine mise à jour, un lien dans mon site vers le vôtre. Bien cordialement Arnaud Lejaille Monsieur Benjamin Piante pense qu'il s'agit d'un masque tchékoslovaque de marque Fatra (le type est plus difficile à déterminer, il faudrait le voir de profil). Il se réfère à deux sites très riches d'informations: http://gasmasklexikon.com/page/start01.htm et http://www.studiogum.com/boris%20page/boris.start.01.htm Nous le remercions pour ces renseignements Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante J'ai transformé la page "de SUYS" de notre site en un fichier Word que vous trouverez en fichier joint. C'est TOUT ce que nous possédons sur ce personnage. Pour réduire la taille du fichier, je n'y ai pas laissé les illustrations. Si vous aviez des difficultés de les enregistrer sur votre DD, faites-le moi savoir et je vous les enverrai par mail. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Monsieur Delfly, Ayant déjà fait quelques recherches sur les camps, je me suis souvenu avoir lu quelque chose à propos du Stalag II B : voir http://www.ac-amiens.fr/ecole80/ecole_lebosquel/histoire/Page_13.htm Cela m'appris qu'il existe une Amicale des Anciens du Stalag II B, mais je n'ai rien trouvé aucun lien sur le Web me permettant de poursuivre. Puisque vous êtes directement intéressé, je vous conseillerais de contacter l'école des 20.000 pierres ... et leur demander le moyen de contacter cette amicale ou un de ses membres (écrire à <> ). Malgré toute ma bonne volonté à essayer de satisfaire nos correspondants, je ne vois pas ce que je pourrais faire de plus. Si d'aventure, vous obtenez des résultats, il me serait agréable de les connaître. Bonjour Je viens de recevoir votre mail et cela me fait très plaisir, voilà enfin des pistes supplémentaires ... quand je vais apprendre cela à mon père, il va être fou de joie ... Pas de problème; si j'ai des nouvelles à ce sujet je vous averti par mail Pas de suite ! Merci ! Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Veuillez envoyer votre demande à notre membre Mr Albert LEKEU, ancien milicien aux Ch A, et qui continue à s'y intéresser. Peut-être pourra-t-il vous aider dans vos recherches. Son adresse : Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante Merci pour votre renseignement qui a été transmis à nos membres assidus de la réunion hebdomadaire du mardi. Connaissez-vous le site http://www.thissen-laboratories.com/iff/ ? Si non, je ne peux que vous conseiller d'y faire un tour... Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante En ce qui concerne vos recherches, je ne peux que vous conseiller de les orienter vers des services d'archives militaires, vers les services d'archives de l'Essonne, ou de l'une ou l'autre municipalité. Je ne vois pas comment je pourrais mieux vous aider et j'en suis désolé. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante En ce qui concerne des renseignements sur la caserne de Peutie, le mieux est de prendre contact avec l'ISC (Information Sociale et Culturelle) de cette caserne en envoyant un courrier postal adressé au "Commandant de la caserne de Peutie". Désolé de ne pas pouvoir vous aider plus. Retour au début de la page "Courrier (2003/4)" ou à la question correspondante |
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