V1 - V3

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Louis FREUVILLE

Pluie de V1 sur Liège et Anvers

En 1944/1945, Londres, Anvers et Liège subirent une offensive de V1 et de V2 dont la charge explosive minimale était d'une tonne. En ce qui concerne Liège, les statistiques officielles se présentent comme suit :

Endroit

Nombre de V1

Tués

Blessés

Maisons détruites ou sinistrées

Agglomération liégeoise

976

1.053

1.986

63.639

Reste de l'arr. de Liège

713

216

140

14.752

Arrondissement de Huy

156

135

233

6.000

Arr. de Verviers

210

963

619

10.042

Arr. de Waremme

86

40

36

1.755

Totaux

2.141

2.407

3.014

96.188

Ceci, malgré que 80 % des V1 aient été abattus par la DCA !

Personnellement, je n'ai pas subi toute la période de bombardement.

Peu après le 16 décembre 1944 (offensive dite de von Rundstedt), j'accompagnais les Seaforth de la 51 Hightand Division (Ecossais sauvages et admirables), fraîchement descendus du front des Pays-Bas pour renforcer les G.I.'s.

J'obtins quelques heures de permission pour me rendre à Ans où ma tante et mon cousin étaient morts, ensevelis sous les ruines de leur maison démolie par un V1; ma cousine était aveugle suite aux éclats de verre qui lui avaient crevé les yeux; mon oncle était en Silésie depuis fin mai 1940 ...

Je me souviendrai toute ma vie de Noël 44. Je quittai Ans en empruntant le tram 12 qui devait me ramener à Liège-Centre. Le tram s'étant arrêté huit fois suite aux alertes V1, je décidai de continuer à pied (ça allait plus vite). Avant de rejoindre mon unité, j'avais envie d'embrasser ma mère, calfeutrée dans sa cave à Ougrée. Et allez donc, gauche, droite, une, deux, ...

Après tout, il n'y qu'une douzaine de kilomètres.

Il n'y avait pas que des bombes volantes qui dégringolaient : la nuit, elle aussi, était tombée, et ceux qui se souviennent de l'aspect de Liège, dans la pénombre occultée, où, par endroits, il fallait trouver son chemin dans les ruines ... C'était d'un gai !

Arrivé à Fragnée, à proximité du pont de chemin de fer du Val-Benoît, qui, depuis 1939, avait pris l'habitude de sauter ou d'être bombardé, je fus pris dans une rafale d'une douzaine de V1 et ne trouvai mon salut qu'en me collant entre un de ces superbes poteaux en béton rosé de la STIL et le mur de soutènement du pont. Pour la petite histoire, je suis retourné ultérieurement à cet endroit mal famé : il n'y avait pas 20 centimètres entre le mur et le poteau. Bien sûr, à Noël 44, j'avais 19 ans et. après 55 mois de misère et de privations, j'affichais une sveltesse que beaucoup de jeunes femmes m'envieraient aujourd'hui, mais quand même, VINGT centimètres ! Ou bien, entre temps, le mur avait cédé, ou bien, ce qui est beaucoup plus probable, j'étais entré dans le proverbial trou de souris.

A la longue, je parvins quand même à rejoindre Ougrée et la cave maternelle où, parmi la dizaine de voisins qui s'y étaient retranchés, je fis la connaissance d'un soldat américain qui, heureux homme, avait été envoyé en mission à Liège. Il attendait avec impatience la jeep qui devait le reconduire à Elsenborn et émit l'opinion que le front était moins dangereux et moins déprimant que la grande cité mosane. J'aurais eu tendance à abonder dans le même sens ...

Pour les Liégeois, tout cela faisait partie du train-train quotidien.

Ils ont, de tout temps, été habitués aux trous et autres cratères : glissements miniers. Grosse Bertha en 14, Stukas en 40, RAF et USAAF de 40 à 44, V1 et V2 en 44/45, place Saint-Lambert dans les années 80/90. Les trous, ils connaissent !

Anvers n'était pas logé à meilleure enseigne. Le port, sous les rafales, travaillait au huitième de son potentiel. Un V1 avait éclaté sur la scène du cinéma REX, faisant des dizaines de victimes, soldats britanniques pour la plupart. Comme, dans tout drame, il faut un élément comique, un V1 quelque peu égaré était tombé sur les latrines de la caserne de St-Niklaas-Waas où étaient à l'entraînement quelques centaines de V.G. 44, renfort de la Brigade Piron.

Les circonstances permirent aux candidats héros, sous prétexte de faire "leur grosse commission", de fréquenter les nombreux établissements à lanterne rouge A la même époque, ce qui nous irritait par dessus tout était de lire dans le journal Le Soir la publicité de certains restaurants bruxellois qui annonçaient des réveillons au Champagne avec poulardes, entrecôtes, dames blanches, café et liqueurs. Pendant ce temps-là, les Liégeois étaient tout heureux de consommer les oeufs en poudre et le papier hygiénique, butin de la mission Kronacker aux USA.

C'est depuis lors que :

- je ne crois plus à la solidarité nationale,

- j'éprouve beaucoup de sympathie pour les Anversois(es),

- je toise d'un oeil torve et biscornu une certaine bourgeoisie bruxelloise !

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Un V1 est tombé quelque part sans exploser  

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Du courrier des lecteurs

Où il est encore question de Mimoyecques

Monsieur Willy O. H. FRESON nous adresse un extrait du "PETIT 39/45 JOURNAL n° 10 d'octobre 1991, supplément au n° 63 de 39-45 MAGAZINE.

Nous en résumons le contenu.

"Le lieutenant Joseph Kennedy, frère de feu le président des Etats-Unis, 'missing in action !'

"Le 18 septembre 1943, des avions d'observation de la RAF photographient des constructions de boucles de chemin de fer à proximité des carrières de craie, à Mimoyecques. Deux tunnels y sont en chantier. On sait maintenant qu'il s'agit de la réalisation d'un projet de Hitler : la destruction de Londres au moyen de V3.

"Dès le 5 novembre, la RAF bombarde le chantier mais l'épaisseur de la craie et les protections de béton vont amener la RAF et l'USAAF à réaliser des raids spéciaux, à savoir larguer des super bombes, dites 'Tallboy', longues de 6,38 m avec un poids de charge explosive de plus de 5 t. Ces bombes explosent après avoir traversé la couche de craie, faisant ainsi effondrer tunnels et puits en construction. La première utilisation est faite le 6 juillet après-midi par le 617e squadron de la RAF (17 Lancasters).

"Un deuxième procédé est baptisé "Opération Aphrodite" où deux forteresses volantes B 17 réformées sont désarmées et remplies d'explosifs. Deux pilotes y prennent place pour effectuer le décollage et sautent après quelques kilomètres. Ces "bombes volantes" sont alors téléguidées par un autre avion qui les fait voler en piqué sur l'objectif. Peu de ces avions atteignirent leur but.

"Le 12 août 1944, le lieutenant Joseph Kennedy de la 8e Air Force participa à une de ces missions spéciales. Le décollage effectué, son avion explosa.

Les recherches n'ont pas permis de savoir si la cause est une erreur de téléguidage ou l'action de la DCA ou de la chasse ennemie.

"Une stèle honore son souvenir en plein coeur des tunnels de la base de V3."

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Willy 0. H. FRESON

La pompe à haute pression

Arme secrète allemande V3

(Suite et fin)

Renseignements trouvés dans divers rapports concernant la HDP (HOCHDRUCKPUMPE)

Caractéristiques

(Tirées du rapport n° 3689/44 du 17.11.44 du Major von VANGEROW. suite à la présentation de l'engin à MISDROY, le 14.11.44.)

"L'engin ressemble à une conduite de pression d'hydrocentrale; un long tuyau, reposant sur une pente raide, entrecoupé à certains endroits par des croisillons ressemblant à des raccordements, devant recevoir des charges additionnelles".

Tube :

longueur : 45 m,

diamètre extérieur : 25 cm,

épaisseur de la paroi : 5 cm,

diamètre intérieur : 15 cm.

D'après les photos, on constate que le collier de raccordement est percé de 18 trous pour boutons de fixation.

Nombre de croisillons : 12.

Mise en batterie ; de 3 à 4 heures.

Vitesse de tir : de 2 à 3 coups, maximum, par heure.

Dispersion : non encore mesurée, mais évaluée à 5.

La différence V° est de 40 m/seconde.

Projectile :

sous-calibré, stabilisé sur sa trajectoire par des ailettes.

Poids : 7 à 9 kg de charge explosive.

Produit  l'effet de deux obus d'obusier lourd de campagne de 150 mm Mod. 1918.

Poids de la charge propulsive : 120 kg.

Affût :

construit d'une manière fixe,  sur une pente d'au moins 30 m de longueur,  de 30° d'inclinaison.  Le tube peut toutefois être décalé d'environ 1° en direction.

Temps de travail pour sa construction : environ 14 jours de travail pour une section de l'O.T.

La bouche du tube doit dépasser la pente sur laquelle l'affût a été construit, sinon des tourbillons de vent se produiraient, qui pourraient influencer la trajectoire.

Recul : absorbé par une plate-forme.

Emploi et mise en action de l'engin

Le tube n'ayant qu'une vie de 300 coups, cet engin ne peut donc être employé que pour battre un seul objectif.

Suite à la vitesse de tir, il faudra trois tubes, à une batterie, pour pouvoir exécuter un tir d'efficacité de deux journées.

Comme on ne construit que deux engins par mois, un groupe d'artillerie ne pourra engager que neuf buts avant que l'ensemble des engins ne soit épuisé. Le renouvellement complet de cette dotation ne serait réalisé qu'après quatre mois et demi.

Vu la dispersion, la surface d'un objectif devrait, au moins, être de 1 Km en largeur sur 5 à 6 Km en profondeur.

Une fois l'engin en batterie, il ne peut battre que des objectifs se trouvant dans la ligne initiale.

La portée est obtenue par le dosage des charges propulsives additionnelles.

Etant donné que le démontage, puis le remontage, demanderaient plusieurs jours, l'engin ne peut venir en ligne de compte pour effectuer des tirs de harcèlement.

Les charges, propulsive et explosive, n'ont aucun rapport entre elles.

L'effet du projectile ne vaut pas la dépense consentie pour l'engin.

L'Obergruppenführer KAMMLER est pourtant d'avis que l'engin doit, malgré tout, être immédiatement mis en action sur le front, car c'est le seul moyen de se rendre compte si l'engin est utilisable ou non.

Normes décidées après la présentation du 14.11.44.

Après cette présentation, des conversations eurent lieu entre l'Office de l'Armement/Groupe Artillerie (Wa. A. Ag. Art), le Bureau Général de l'Artillerie et l'Industrie de Guerre. Les normes suivantes furent décidées :

a) Matériaux et travaux nécessaires pour la construction d'un engin

400 jours de travail (40 hommes pendant 10 jours),

150 à 200 m3 de terrassement,

environ 10 m3 de bois,

3 à 10 tonnes d'acier.

b) Emplacement

Un terrain en pente d'une longueur de 30 à 50 m, dont l'inclinaison doit être de 30°, ou mieux encore 34°.

Comme ce terrain n'est, probablement, pas facile à trouver, et qu'en plus, l'engagement de l'objectif est tributaire de la distance exacte, des troupes de reconnaissance devront être créées le plus tôt possible. Elles devront comprendre des spécialistes en arpentage, particulièrement important. Avec les topographes, ils devront relever immédiatement la direction de tir afin que la mise en batterie soit correctement orientée.

c) Vie du tube

Probablement 300 coups possibles, voire plus; cela dépendra de la servitude. Jusqu'à présent, un tube était usé après 227 coups.

d) Fabrication

2 engins par mois.

Munitions : 700 coups au 13.01.45,

800 coups supplémentaires au 11.02.45.

e) Cadence de tir

2 à 3 coups, au plus, par heure.

f) Effet du tir

Environ la valeur de 2 obus d'obusier lourd de campagne de 15 cm. En tir de crise, le tube peut être usé en environ une semaine.

g) Dispersion

A 60 Km de portée, 3 Km en profondeur sur 800 m en direction, d'où des objectifs de 5 Km en profondeur sur 1 Km en largeur.

h) Tables de tir

Ne seront calculées qu'au début de janvier 1945; actuellement, manque de munitions. Seraient malgré tout calculées si l'engin devait être mis en action à bref délai. Il est possible d'obtenir des portées différentes en agissant sur le nombre de charges additionnelles. Pour parer à de petites erreurs et aux influences des conditions du moment (direction et force du vent, température, etc.), on exige que le tube, malgré ta construction rigide de l'engin, puisse être déplacé de 1°, en plus et en moins, en direction.

Tirs de guerre effectués en opérations, avec des LRK

Suite à des messages échangés entre l'Obergruppenführer KAMMLER et le Commandement Supérieur Ouest (Ob. West), il ressort qu'une batterie de deux tubes était en position, prête à l'action, pour le 15.12.44. KAMMLER voulait que la Div. z. b. V. (abréviation non identifiée) commence immédiatement les tirs.

La batterie était en position à RUWER, près de TREVES et l'objectif était la ville de LUXEMBOURG. K. voulait intervenir à tout prix dans les combats. L'ordre de tir fut reporté de quelques jours afin de ne pas mettre les propres troupes en danger.

Le 28.12.44, à 12 h 15 , K. envoyait un message urgent : "Ouverture du feu, des deux LRK, sur l'objectif prévu, probablement le 30.12.44. - Demande savoir immédiatement si des raisons tactiques existent encore, pouvant imposer des réserves concernant l'ouverture du feu ?"

L'Ob. West répondit : "Actuellement, il n'existe aucune raison tactique".

On ne possède aucun document officiel mais on sait que le bombardement de la ville de LUXEMBOURG a bien eu lieu, ainsi d'ailleurs que celui de la ville d'ANVERS, par une autre batterie.

La troupe

La mise sur pied et l'instruction de la troupe a eu lieu en Allemagne, sur un terrain d'exercice. Elles étaient entre les mains d'un colonel de l'Office d'Armement, qui devint chef de corps du régiment ainsi formé. L'effectif s'élevait de 800 à 1.000 hommes (d'autres sources donnent 1.200).

Dès le début, cette troupe participa aux essais de tir à MISDROY; elle était opérationnelle au moment de la mise en action de l'engin sur le front.

"Unternehmen Wiese" (Opération Prairie)

Au début de l'année 1944, le Heereswaffenamt (Office de l'Armement de la Force Terrestre) donnait l'ordre d'entamer la construction d'une position de tir unique en son genre.

Emplacement

Village de MIMOYECQUES, près de RIXENT, à l'ouest du PAS-DE-CALAIS.

Destination

Prévue pour la mise en batterie d'armes de représailles n° 3 (Hochdruckpumpe - HDP - V3).

Description

 Croquis de la position de MIMOYECQUES

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1. Entrée ouest de la galerie se trouvant à 30 m de profondeur.

2. Sorties des tubes dans les plaques de béton armé.

3. Bouches d'aération.

4. Système de freinage du recul.

5. Canons superposés.

Construite sous une colline de craie.

1. A 100 m de profondeur, une grande galerie de 100 m de longueur sur le fond de laquelle devaient reposer les culasses et les systèmes de freinage de recul des pièces.

2. Cinq galeries obliques, à inclinaison de 50°, partant de la galerie de 100 m et aboutissant à la surface de la colline.

Elles devaient contenir, chacune, 5 tubes superposés de 142 m de longueur (25 tubes au total) à 96 croisillons. La direction exacte de ces galeries obliques était ordonnée de ta façon suivante :

Les 5 tubes placés dans la galerie oblique du centre étaient exactement pointés sur le London Tower Bridge.

Les 5 tubes des galeries se trouvant immédiatement à gauche et à droite des tubes du centre étaient pointés, respectivement, plus à gauche et plus à droite du Tower Bridge. Les tubes des galeries extérieures étaient encore plus écartés, le tout formant un éventail.

Les endroits où les bouches des canons sortaient de terre étaient renforcés au moyen de fortes plaques en béton armé; seules 5 fois 5 rangées de trous de 15 cm de diamètre étaient visibles à la surface de la coltine. Cette dernière fut conservée, le plus possible, dans son état naturel.

3. Une galerie horizontale creusée à 30 m de profondeur, dite "Galerie des 30 mètres", traversant la colline d'est en ouest, et devant abriter le régiment au complet, avec ses 5 batteries. Cette galerie était si large qu'en plus d'une route carrossable pour les camions, on put construire une ligne de chemin de fer à deux voies. Elle s'évasait, en son centre, en forme de dôme; à cet endroit, on construisit les baraques pour les bureaux et la troupe, ainsi que des dépôts pour les munitions et les pièces de rechange.

Les deux problèmes principaux de cette construction étaient :

a) une aération suffisante, surtout pendant les tirs,

b) les Infiltrations de la nappe aquifère.

Le premier problème semblait relativement facile à résoudre; le deuxième donna de grosses difficultés. Des infiltrations continuelles se faisant jour dans la galerie inférieure, des pompes à eau devaient fonctionner sans interruption. A cet égard, l'emplacement choisi était très défavorable.

Dès que la position, qui ne possédait pas de FLAK, fut attaquée par l'aviation ennemie, on s'aperçut très vite que la résolution de la question de l'aération, prévue au début, devenait un critère de l'opération tout entière. Les petits canaux d'aération de la surface en furent les premières victimes. Ils furent ensevelis plus tôt que prévu.

Notons qu'une bombe "Tallboy" de 5 tonnes détruisit une des galeries obliques en éclatant, en plein dedans, à une quarantaine de mètres de profondeur.

Conclusions

Pas un seul coup n'a été tiré de cette position, qui tomba aux mains des Alliés; ceux-ci la visitèrent, la mesurèrent, puis la firent sauter.

La construction était si stable que seules les plaques de béton armé, qui protégeaient les bouches des canons et tes entrées de la galerie de trente mètres furent démolies.

Le terrain sur lequel la position a été construite appartient actuellement à la famille WASSEUR qui l'a, en partie, remis à la culture. Un ancien soldat allemand, qui avait connu cette famille pendant la guerre, lui a donné l'idée de déblayer les éboulis et de transformer l'ancienne position en musée.

Ci-après, l'adresse de ce musée

Forteresse de MIMOYECQUES,

F 62250 LANDRETHUN de NORD

Notons encore qu'à une trentaine de kilomètres de là, on peut visiter tes restes d'une position de V2, à EPERLECQUES.

Sources

WAFFENREVUE Nr 70 et Nr 73.

Remarques : les rapports repris dans les Waffenrevue ne font pas mention des plaques qui font l'objet de l'article de Monsieur RICHELY dans le bulletin Tome IV, fasc. 11 de septembre 1991. D'autre part, selon ces rapports, cinq puits étaient prévus à Mimoyecques.

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Dernière mise à jour: 16 décembre 2011