T I - Fasc 5

Tome I Tome II Tome III Tome IV Tome V Procédure de Cde

Remonter
Journal Charleroi
Amercoeur

 

Tome I - Fascicule 5 - Avril 1981

SOMMAIRE

Editorial

Informations générales

Vie du Centre, vie des Cercles Associés

Revue bibliographique

Images du C.L.H.A.M.

G. DURY - "Le journal de Charleroi" et la guerre de sécession (1861-1865)

A propos du bombardement du faubourg d'Amercoeur en 1794

EDITORIAL

La politique scientifique du C.L.H.A.M.

L'Histoire et l'Archéologie militaires offrent un champ d'investigation extrêmement vaste, même si nous nous limitons à la seule étude du domaine immobilier. Définir une politique scientifique pour le C.L.H.A.M. réserve de nombreuses embûches. En effet, tendre vers une trop grande spécialisation conduirait vers l'élitisme et provoquerait l'asphyxie de l'association, tandis qu'une dispersion des efforts, que l'hétérogénéité de notre groupe commande, pourrait entraîner celui-ci sur les voies banales où le redondant voisinerait avec le superficiel.

Bien qu'une orientation générale ait déjà été donnée à notre action, il paraît sage et opportun de préciser clairement les axes que nous nous sommes fixés ainsi que les buts que nous échelonnerons dans le temps en fonction de nos moyens.

1.  II importe, tout d'abord, que le C.L.H.A.M. devienne, officiellement, cet organisme de la région liégeoise où puissent se rencontrer tous ceux pour qui la notion de civisme n'a pas été un vain mot. Il sied, dès lors, d'équiper et d'organiser le centre de façon à le rendre apte à recevoir, dépouiller et classer tout type d'archives en relation avec la vie militaire de la région. Une coopération avec les associations locales reste essentielle.

Le but sera atteint quand du personnel spécifique sera mis à la disposition du public pour le documenter et l'encourager à étudier notre passé militaire d'hier et d'avant-hier.

2.  Pour réduire l'ampleur de ce secteur régional, à peine défriché par nous, où se combinent si intimement histoire et archéologie, nous avions envisagé l'étude d'un seul aspect : celui du patrimoine militaire immobilier.

Là aussi nous nous sommes trouvés devant un problème extrêmement vaste, parce que diverses raisons nous avaient incités a l'aborder d'un point de vue national. Faute de moyens, notre action s'est limitée à l'une ou l'autre étude ponctuelle et à un rôle de chien de garde.

Ne serait-il pas utile, toutefois, de poursuivre la collecte des données historiques et archéologiques en rapport avec les constructions militaires en vue de dresser une carte archéologique du pays pour les époques les plus significatives de notre histoire nationale ?

Ce travail entamé en janvier 1979, sous l'influence d'un projet soumis à la chaire d'histoire de l'E.R.M. par le Directeur Général des Constructions Militaires, et resté sans suite, avait par contre abouti à la création de notre association. Actuellement, soit deux ans plus tard, l'organisme "Forum - Force Terrestre" nous propose sa collaboration afin de réaliser en commun, une série de monographies relatives aux établissements militaires.

Malgré notre désir, nous ne sommes pas à même, aujourd'hui, d'accepter cette offre. Une aide en personnel militaire reste toujours indispensable. Celle-ci devrait aller de pair avec une reconnaissance officielle de notre organisation.

3.  Après s'être constitué, le C.L.H.A.M. a orienté son activité vers le domaine plus précis de la fortification militaire et a, en brûlant les étapes, présenté son exposition "Liège, Mille ans de fortifications militaires".

Grâce à cette manifestation, le Centre a pu se procurer une documentation de base, tout en mettant en place un embryon de cartothèque qu'il est absolument indispensable de compléter. Nous abordons là un problème financier qui, à première vue, peut paraître assez ardu. Pour le résoudre, nous appliquons une formule d'autofinancement qui a fait ses preuves durant notre exposition.

4.  II convient maintenant de préciser clairement nos intentions pour le futur :

Tout d'abord, compte tenu de la charge administrative du Centre et de la teneur du projet déposé à l'O.N.E.M., qui nous a permis de recruter deux universitaires (dont l'engagement expire dans 9 et 10 mois), il est exclu d'envisager actuellement un programme scientifique à long terme. Aussi, tant qu'une équipe spécialisée n'aura pas été recrutée (un historien, un archéologue, un géographe, un dessinateur), il est prématuré d'entamer l'enquête que C. Dury, notre collaborateur, avait si magistralement présentée au congrès de Comines en août 1980 (1). Toutefois, dès que le cadre scientifique sera étoffé, nous pourrons, par exemple, envisager pour une période déterminée (1296-1335), le recensement des ouvrages fortificatifs situés entre Meuse et Geer.

Serait ainsi partiellement résolue cette question d'archéologie du Moyen Age dont nous nous entretenions, en juin 1975, avec le Professeur J. Stiennon, qui nous avait encouragé dans cette entreprise. Vu sous un angle général, le problème n'est pas neuf car il y a plus d'un siècle déjà que Stanislas Bormans avait déploré cette lacune dans la documentation liégeoise (2).

Ce relevé vient de plus à son heure, car il s'inscrit directement dans les vues du colloque consacré à la problématique de l'histoire liégeoise, qui s'est tenu au palais des Congrès de Liège les 13 et 14 mars 1981, et où le Professeur A. Joris a proposé la réalisation d'un tel type d'enquête (3). Moyennant la constitution de l'équipe précitée et le recours à l'un ou l'autre spécialiste, le C.L.H.A.M. paraît armé pour apporter sa pierre à l'édifice commun. Il est donc urgent de coordonner cette action avec les instances universitaires tout en hâtant les formalités administratives pour que ce noyau de techniciens puisse fonctionner à partir du 1er juillet 81.

5.  II reste ensuite à définir notre politique pour le futur immédiat. Ayant choisi le thème de la fortification comme spécialité, le C.L.H.A.M. doit pouvoir s'affirmer et prouver qu'il est à même de produire en 1981, avec les moyens dont il dispose, un travail de qualité dans ce secteur.

Deux contraintes sont à dégager. Il faut d'une part éviter que le renom de l'association ne repose exclusivement sur la qualité de l'un ou l'autre de ses membres et parvenir, d'autre part, à catalyser toutes les bonnes volontés pour que chacun puisse coopérer à des projets, dont l'exécution serait à échelonner dans le temps. Pour l'année 1981, une décision a été prise.

Choisi après mûre réflexion, le thème : Liège et le Royaume des Pays-Bas, une place forte dans un ensemble défensif (1815-1830), a été examiné sous tous ses aspects et doit conduire logiquement à un meilleur développement de l'association.

Compte tenu du laps de temps qui nous est imparti et de l'ampleur du programme, nous avons structuré l'étude en réalisant tout d'abord une synthèse du système défensif du Royaume des Pays-Bas, aboutissement d'un siècle de diplomatie européenne. Le thème même de l'exposition nous a, par ailleurs, autorisés d'entreprendre les démarches nécessaires afin d'obtenir la collaboration des Pays-Bas et du Grand-Duché de Luxembourg.

La grande dispersion des sites nous a ensuite incités à prendre contact avec plusieurs sociétés d'histoire et d'archéologie régionales et avec un certain nombre d'unités des forces armées. L'intervention, demandée par nous, vise à obtenir, de quelques érudits des études ponctuelles se rapportant aux constructions locales et à leur occupation par les troupes hollando-belges.

En fait, le travail scientifique demandé ne serait pas trop lourd pour les groupements précités, car il consisterait en l'élaboration d'une courte monographie dont les lignes paraîtraient dans une anthologie assez aisée à financer.

Par ailleurs, la réédition d'une exposition à Liège vient à point nommé car elle intéresse les Liégeois au premier plan.

En effet, l'armée quitte définitivement le Quartier de la Chartreuse dont certains éléments caractéristiques risquent de disparaître a jamais.

On court le risque que soit ainsi effacée une pièce intéressante du système défensif que le Gouvernement du Royaume des Pays-Bas avait été contraint d'aménager et dont il n'eut jamais l'occasion de se servir.

Nous vous donnons rendez-vous dans notre prochain bulletin pour vous tenir au courant de l'évolution de ce projet.

P. Rocour

(1) Le compte-rendu de cette communication figure dans l'ouvrage Liège, 1.000 ans de fortifications militaires édité à l'occasion de notre exposition, voir C. DUFY, Le patrimoine monumental militaire de la Belgique : état de la question et plans de recherche, pp. 7-24.

(2) Dans la préface de son ouvrage Les seigneuries féodales du pays de Liège, Liège, 1871, Stanislas Bormans remarque qu'à part des précurseurs comme Saumery, Delvaux et Bovy, personne ne s'était encore attaché à étudier avec soin "Ces curieux débris des anciens âges et sur nos montagnes, ces vieilles tours auxquelles se rattache le plus souvent l'origine d'un village, dont quelques unes n'offrent plus à nos regard que des ruines".

(3) A. JORIS, De quelques enquêtes a mener en matière d'histoire liégeoise du Moyen Age.

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I. Informations générales

Echos du conseil d'administration :

Lundi 25 février :

Présents : cfr registre des présences.

Dorénavant, Christian Dury assume le secrétariat du conseil d'administration. Toute question relative à l'ordre du jour des séances doit lui être adressée.

Le conseil désigne P. Rocour aux fins de discuter avec le Musée de l'Armée les bases de nos relations futures.

Bilan de l'exposition 1980 : chacun est d'accord pour déplorer le manque de publicité donnée à nos activités. On réfléchit aux moyens d'y remédier : écoles,... Des suggestions sont faites pour améliorer l'environnement du Centre lors des manifestations : service des plantations de la ville, ...

5° Bulletin : davantage de collaboration serait bienvenue.

Expo 81 - Congrès 83 : il est temps de s'y préparer. Quelles publications ? Quelles ressources ? sont les problèmes débattus (parfois âprement).

Bilan : en un an, 4 fasc. du bulletin sont sortis. Aussi, 1 catalogue de l'expo. 80 et 1 brochure de 144 p. Il faut veiller à améliorer la formule, à faire mieux dans l'avenir.

Mercredi 18 mars :

Présents : cfr registre des présences.

Citadelle de Namur : contact avec l'association désireuse de préserver ces bâtiments vénérables.

3° Expo 80 : on revient sur le problème de la publicité à faire. Diverses solutions sont envisagées : toutes boîtes, Vox, ...

4° Corps des Cadets de Marine : en l'absence de G. Meuris, le problème n'a pu être tranché. Ni envisagé celui de la création à Liège d'un Musée historique. En tout état de cause, le C.L.H.A.M. ne possède ni les locaux, ni le matériel.

Catalogue 80 : en l'absence de P. Delbrassinne, le problème est laissé en suspens. Il ne semble pas y avoir d'amateurs potentiels intéressés à sa refonte sous forme d'un n° spécial du C.L.H.A.M.

Expo 81 - Congrès 83 : des demandes de subsides sont à l'étude. Contacts pris avec le C.A.C.E.F, à Namur.

Membres à titre collectif (associations) : afin de dissiper toute équivoque, nous signalons que si les membres de telles associations bénéficient du libre-accès au Centre, l'envoi des bulletins et autres publications échappe aux avantages accordés, cela va de soi.

Enquêtes : deux projets sont à l'étude de toucher les cercles d'histoire et d'archéologie, ainsi que les administrations communales.

Cotisations :

II est rappelé que les cartes de membres actuelles sont valables jusqu'au 30 juin 1981. Des indications pour le renouvellement des cotisations figurent en fin de bulletin (p. 35). Nos membres qui le désirent peuvent d'ores et déjà effectuer leurs versements, ce qui étalerait le travail du trésorier.

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II. Vie du Centre - vie des cercles associés

1.  La Fondation Simon Stevin est née en 1964. Elle a été créée au sein du Vlaamse - Toeristenbond (V.T.B.) "avec le but de remettre en honneur nos vieux trésors de fortifications, de les faire entretenir et restaurer éventuellement" (1). Telle quelle, elle constitue un pendant à la Fondation Kenno Van Coehoorn (Pays-Bas). Le 16 mai prochain, une délégation du conseil d'administration se rendra à Anvers. Elle visitera l'ancienne P.F.A. de 1940 et organisera la prochaine excursion du C.L.H.A.M. De plus amples informations seront données à nos membres en temps utile.

2.  Protection du patrimoine :

Nous reproduisons ici le communiqué de la Fondation Vanhove - Vonneche relatif à un Prix de la meilleure restauration d'un monument ancien.

(1) DE SCHRIJVER (C.), La fondation Simon Stevin, in Pallas. Revue d'intérêt général, n° 24, décembre 1965, pp. 13-19.

 

Fondation

Julien et Laure VANHOVE-VONNECHE

7, rue Abbé Cuypers

1040 BRUXELLES

Secrétariat : 266, rue des Wallons - 4000 Ll EGE

 

 

PRIX DE LA MEILLEURE RESTAURATION D'UN MONUMENT ANCIEN

 

LA PERSONNALITE DU FONDATEUR

Julien VANHOVE, né à Liège en 1905, conquit plusieurs diplômes universitaires : docteur en droit, licencié en sciences politiques et licencié en sciences sociales. Il fit une brillante carrière au Congo où il a été Inspecteur royal des Colonies jusqu'en 1960. Il a terminé sa carrière administrative comme Directeur général au Ministère des Affaires étrangères et du Commerce extérieur.

Parallèlement il a été d'abord Professeur à l'Institut universitaire des Territoires d'Outre-Mer à Anvers de 1946 à 1952, puis Chargé de cours et enfin Professeur à la Faculté de Droit de l'Université de Liège.

Il a fait de nombreuses publications, en Belgique et à l'étranger, portant sur des problèmes d'Outre-Mer, spécialement dans le domaine du droit comparé, de l'enseignement et de la promotion sociale des populations africaines.

Enfin, Julien VANHOVE s'intéressait très activement au patrimoine architectural de la Wallonie. Il fut membre effectif de la Commission royale des Monuments et des Sites depuis 1968 jusqu'à son décès survenu à Bruxelles le 11 octobre 1976.

Son souci de la sauvegarde des monuments anciens était tel qu'il a voulu y contribuer d'une façon effective et durable en créant une fondation qui porterait son nom.

BUTS ET STATUTS DE LA FONDATION

La fondation, dont les statuts ont été approuvés par arrêté royal en date du 20 août 1977 et publiés au Moniteur belge du 24 novembre 1977, "a pour objet d'encourager la formation et l'activité de l'architecte restaurateur du monument ancien, civil ou religieux, spécialement la création et l'attribution d'un prix si possible annuel couronnant une restauration terminée et portant sur un monument situé en Wallonie (y compris les cantons de langue allemande) et dans l'agglomération bruxelloise; le prix sera ouvert aux artistes de nationalité belge ou étrangère".

Cette définition de l'objet de la fondation rédigée par un juriste, M. VANHOVE lui-même, est claire et nette, mais elle mérite cependant une certaine exégèse.

La restauration d'un monument ancien exige, de l'architecte qui en est chargé, des connaissances spéciales qui ne font pas partie du programme normal d'études pour l'obtention du grade d'architecte. Si, peut-être, dans certains établissements, des cours de restauration sont donnés, la compétence réelle en la matière ne résulte que d'un gros effort personnel de celui qui vise la spécialisation.

C'est en aidant et en encourageant ceux qui se sentent attirés par cette discipline que M. VANHOVE a voulu contribuer à la sauvegarde d'un patrimoine public qui lui était particulièrement cher.

L'attribution d'un prix n'est qu'un des moyens pour atteindre le but fixé par le fondateur. Contribuer directement à la formation des aspirants restaurateurs est certes l'action fondamentale. Les administrateurs se proposent donc de diffuser périodiquement de la documentation relative à la restauration des monuments.

ATTRIBUTION DU PRIX

Le prix, d'un montant de 100.000 F., sera attribué pour la première fois en 1981. Les candidats auront à se faire connaître avant le 15 mai (date postale) en précisant pour quel monument ils sollicitent le prix. Les documents probants seront déposés à la fondation avant le 15 juin. Ils comprendront nécessairement des relevés et des photos montrant l'état du monument avant et après restauration.

Les documents les plus éloquents feront l'objet d'une exposition. Un jury sera constitué pour désigner le bénéficiaire du prix. La remise de celui-ci aura lieu lors d'une manifestation qui clôturera l'exposition, laquelle est projetée pour le mois de novembre 1981.

 

 

Pour le conseil d'administration,

 

le secrétaire,

F. ULRIX.

     

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III. Images du C.L.H.A.M.

Il n'est pas inintéressant de proposer ici l'éventail des lignes consacrées au C.L.H.A.M. ces derniers mois. Nous y trouvons un encouragement pour l'avenir et l'incitation à persévérer dans nos objectifs. Certaines coupures de presse ont peut-être échappé à notre attention. Pouvons-nous demander à nos membres de nous signaler les omissions éventuelles ?

Les extraits de presse dont question ne sont pas repris in extenso: seules les sources sont citées.

ü      D'HAENENS (A.) et PINSON (S,), Les sociétés d'histoire et d'archéologie de la Communauté Wallonie-Bruxelles, in Les répertoires culturels du C.A.C.E.F., 2, Dossiers du C.A.C.E.F., n° 78-79, Supplément, Namur, 1980, p. 65. - Titre: "Le C.L.H.A.M."

ü      VOX Hebdomadaire militaire, 7e année, n° 3, 24 janvier 1980, p. 12. - Titre: "Le C.L.H.A.M."

ü      VOX Hebdomadaire militaire, 7e année, n° 44, 11 décembre 1980, p. 16. - Titre: "100 ans de fortifications militaires"

ü      Gazette de Liège, mardi 23 décembre 1980 - Titre: "Mille ans de fortifications militaires"

ü       Le Soir, jeudi 1er janvier 1981 - Titre: "De Franchimont à Eben-Emael: 1.000 ans de fortifications"

ü      Le Soir, vendredi 2 janvier 1981, p. 24 - Titre: "A la découverte des fortifications liégeoises, des origines de la principauté à nos jours"

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IV. Revue bibliographique

1.        Le C.L.H.A.M. a acquis les ouvrages suivants :

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KTOTH (G.), La nationalité belge. Namur, 1913, 231 p.

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LECONTE (J.-K.), L'aumônerie militaire belge. Son évolution de l'époque hollandaise à l'organisation actuelle, in Travaux du Centre d'histoire militaire, 1, Bruxelles, 1966, 167 p.

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Aumôniers militaires belges de la guerre 1914-1918. idem, 5, Bruxelles, 1969, 395 p.

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Millénaire d'une principauté (980-1980). Liège, Catalogue des ouvrages disponibles au libre accès des bibliothèques centrales de la Ville et de la Province de Liège, Liège, 1980, 1372 titres.

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ROBINET (Dr.), ROBERT (A.) et LE CHAPLAIN (J.), Dictionnaire historique et biographique de la Révolution et de l'Empire (1789-1815), Paris, s.d., XLIV - 839 + 868 p.

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VERHAEGEN (Gal), Origines et filiation de l'armée régulière nationale, Annexes-tableaux, in Les fresques militaires belges, s.l., 1952.

2.        Le C.L.H.A.M., a reçu les travaux ci-après :

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Archives générales du Royaume. Liste des publications disponibles, Bruxelles, 1979, 26 p. Don des A.G.B.

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Artémis. Organe trimestriel de l'amicale du 80 A regroupant les anciens des 64e et 80e d'Artillerie, n° 18, 8 p.

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De Bavière à la Citadelle. Exposition organisée par le O.P.A.S., Liège, 1980, 279 p. Don de E. Hélin.

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GAHIDE (Y.), L'attaque aérienne des ponts du canal Albert (11 mai 1940). Les 2 et 3 Aé au massacre, Bruxelles, 1980, 107 p. Don du S.D.R.M.

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Guide des Musées 1980. Bruxelles et la Wallonie, Liège, 1960, 139 p. - Don du Ministère de la Communauté française.

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HAUTECLER (Cdt.), Le combat de Bodange (10 mai 1940), in L'année belge dans les deux guerres mondiales, n° 1, s.l., 1955, 36 p. - Don du S.D.R.M.

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HAUTECLER (G.), Le combat de Chabrelez (10 mai 1940). Chasseurs ardennais contre Rommel, in L'armée belge..., n° 2, s.l., 1957, 80 p. - Idem.

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JAMART (J.), Historique du 14e bataillon de Fusiliers, s.l., 1977, 176 p. Ibidem.

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LAMBERT (C.), Ronces d'exil. Poèmes, Liège, s.d., 93 p. Don de V. Grandjean.

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Livre d'or de la carte de feu, Bruxelles, 1936-1937 » LXIX - 625 p. Don de G. Herman.

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MASSART (A.), Historique du 12e régiment de ligne. t. I. 1830-1914. t. II. 1914-1918, Bruxelles, 1977. Don du S.D.R.M.

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MASSART (A.), Historique du 15e régiment d'infanterie de Ligne depuis sa création jusqu'à la première guerre mondiale (1875-1914), Bruxelles, 1976, 104 p. Idem.

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PAPPENS (R.). La Prusse orientale en 1944-1945 et après, s.l., 1980, 91 p. Ibidem.

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SERVAIS (A.). Filiations des unités de la Force aérienne, Saint-Vith, 1978, 151 p. Ibidem.

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Le volontaire de guerre, n° 42, 1981, 8 p.

les disques suivants :

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Marche du 4e Régiment de Ligne (Muldermans) et Marche du 5e Régiment de Ligne (Lecail), Odéon, A 163581, 78 tours, par la Musique royale des Grenadiers belges ss. dir. Capitaine V. Bury.

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Voorwaarts... Marsch, Parlophone, B 98010, 78 tours, par le Groot Harnonika-Orkest.

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La Margoton du bataillon (Pothier-Pujol-Oberfeld), Week-End, 10051, par V. de Warfaaz avec orchestre. Sur l'autre face : Voix du Printemps, valse-viennoise, 78 tours.

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Marche indienne (Sellenick) et Le Bombardier (G. Pares), Columbia, D 6281, 80 tours, par la Musique de la Garde républicaine ss. dir. G. Parés.

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Marche du Régiment commando belge (P. Leemans) et Marche du Régiment parachu tiste belge (P. Leemans), Columbia, DC 382, 78 tours, par Regimental Band of H.M. Grenadier Guards, ss. Dir. Capt. F. Harris A.R.A.M.

ainsi que, don de Monsieur H. Denis (Jupille) :

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ARNTZ (H.), Le bataillon de chasseurs ardennais (1946-1949), Wiesbaden, s.d., 119 p.

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BEAUX (J.), Dunkerque 1940, Paris, 1969, 315 p.

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BOURGEOIS (W.), Wingate raider en Birmanie. Verviers, 1957, 157 p.

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HORA. (C.), Mon tour du monde en 80 barouds, Paris, 1961, 217 p.

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KNEBEL (F.) et BAILEY II (C.W.), Hiroshima bombe A, Paris, 1964, 376 p.

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LENOTEE (G.), Les grands jours du tribunal révolutionnaire, Paris, 1933, 125 p.

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L'HERMINIER (J.), Casablanca (27 novembre 1942-13 septembre 1945), Paris, 1963, 250 p.

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NIEDERGANG (M.), Tempête sur le Congo, Paris, 1960, 241 p.

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PAULIN (J.), La rage au cSur. Souvenirs d'un évadé de France. Parachutiste S.A.S. de la France Libre, Verviers, 1958, 158 p.

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PERREUX (G.), La guerre de 1914-1918, Paris, 1964, 63 p.

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PONSAINT (J.), Je suis une condamnée à mort, Ravensbrück : 1942-44, Mauthausen 1945, Bruxelles, 1945, 186 p.

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RIBEAUD (P.). Adieu Congo, Paris, 1961, 259 p.

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Le SHAPE et le commandement allié en Europe. Au service de la paix et de la sécurité, Fleurus, 1973» 149 p.

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VIALAR (P.), J'avais un camarade, Paris, 1948, 190 p.

Camp d'Elsenborn :

Monsieur G. Bockiau (Herstal) nous offre 9 cartes postales en rapport avec le Camp d'Elsenborn avant 1940. Ce sont :

1. Bâtiment d'administration (deux fois).

2. Caserne.

3. Caserne.

4. Casino des officiers.

5. Chemin de fer militaire.

6. Ecuries.

7. Hôtel Borgs.

8. La Poste.

Nous le remercions infiniment.

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Dernière mise à jour: 31 mai 2012