Réponses 2004/4

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CL 0226

Monsieur Quentin (?)

Merci de votre appréciation.

Il existe bien quelques rares publications sur Dave (1) et St Héribert (1) qui peuvent être consultées dans notre bibliothèque. Mais c'est très réduit. A notre connaissance, personne n'a encore fait des recherches au résultat publié concernant la PFN. Il faudrait que quelqu'un se décide un jour à aller compulser les archives du CDH (Centre de Documentation Historique) à Evere et celles du MRA, puis publie ses trouvailles.

Cela nous intéresserait aussi mais ce qui nous manque le plus, c'est le temps et l'argent pour les déplacements et les photocopies.

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CL 0227

Monsieur Suchowolski,

Nous n'avons pas beaucoup d'archives sur la résistance.

Voici ce que je peux actuellement vous donner comme renseignements:

Parachutages aux Plaines Sapin et Seringa.

Un monument est dédié à la mémoire des victimes de l'Armée Secrète. Les Plaines Sapin et Seringa furent aménagées en mars 1944 par les maquisards pour réceptionner les hommes et le matériel parachutés par les avions.

(Ravitaillement important pour toute la région).

Peut-être qu'en contactant les responsables  de ce site, vous pourriez être aiguillée vers une reponse plus complète.

http://www.somme-leuze.be

Vous pouvez aussi poser vos questions à l'Office Central de la Matricule (Quartier Reine Elisabeth - Rue d'Evere,1 à 1140 Bruxelles), à la FNC, à la FNAPG, le MRA à propos de votre père (voir leur adresse sur notre site - Page "VOS recherches, ...").

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CL 0228

Monsieur Vanloffelt,

Voici les renseignements recueillis au sujet qui vous intéresse:

Carabine de rempart belge Mod 1864

bullet système Wirthworth
bullet calibre 17,5mm
bullet chargement par la culasse
bullet 6 rayures concentriques
bullet guidon protégé par 2 cornes
bullet bracelet avec pivot à charnière
bullet hausse avec montant, gradins et crseur
bullet chambre mobile avec fourche pour l'enlèvement et calée par un coin à levier à ressort
bullet garniture en fer
bullet sous-garde avec poignée pour le pouce
bullet

baguette

Fusil de rempart belge Mod 1864

bullet

système Wirthworth

bullet

calibre 17,5mm

bullet

âme hexagonale à 6 rayures arr.

bullet

hausse montant à curseur type 1841/1853

bullet

bloc à chambre tournant autour d'un axe transversal à l'aide d'une fourche fixe

bullet

pièce de calage tournant autour d'un axe longitudinal à l'aide d'un levier articulé

bullet

monture sans fût

Fabrication liégeoise

Ces 2 armes sont actuellement dans les réserves du Musée d'Armes de Liège.

Les renseignements quant à l'usage de l'arme seraient à demander au MRA.

Ces renseignements m'ont été donné par Monsieur Pierre Grégoire, un de nos membres assidus et "Ami du Musée d'Armes de Liège".

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CL 0229

Monsieur Murgia,

Gland bleu et passepoil rouge = artillerie;

Gland noir et passepoil rouge = génie;

Gland bleu et passepoil blanc = Troupes de Transmission.

Je vous indique les trois combinaisons pour le cas où les couleurs auraient été altérées par le temps.

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CL 0230

Madame Pouchka,

Je ne peux pas vous aider si ce n'est en vous conseillant d'adresser votre demande à:

bullet

Monsieur le Chef du S.I.H.L.E. (Service d'Information et Historique de la Légion Etrangère) - BP 78 à 13673 Aubagne et à

bullet

Monsieur le Directeur de l'I.I.L.E. (Institution des Invalides de la Légion Etrangère) - Domaine Capitaine Danjou à 13114 Puyloubier.

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CL 0231

Monsieur Eurlings,

Veuillez trouver ci-dessous le texte de la réponse de Milou:

Mon cher Jean-pierre,

Effectivement, mon surnom est bien resté. Cela me fait très plaisir d’avoir de tes nouvelles et cela par le plus pur des hasards. Il y a un certain temps, j’ai appris que tu avais eu des problèmes de santé lors d’une manifestation organisée par la brigade canine. J’avais interrogé quelques policiers dont un m’avais fait part de tes problèmes. J’espère que, maintenant, tout va bien.

Comme tu vois, une bonne partie de notre jeunesse passée à déambuler dans les bois et casemates de la Chartreuse et à visiter et vivre des aventures auprès de ces fortins, a fait naître une passion qui ne s’éteindra probablement jamais. Après avoir cherché pendant vingt ans dans les archives et parcouru des milliers de kilomètres à travers le pays, je me suis enfin assis devant un écran pour faire connaître à tout qui le veux bien ces vestiges oubliés de tous.

Le cinquième livre vient de sortir et je ne compte plus les articles publiés sur ce sujet. Mais la passion est toujours aussi intacte. Tous les mardis soir, je suis au C.L.H.A.M., et ce depuis plus de vingt ans, à discuter avec d’autres de ma passion. Bref, je suis sans arrêt plongé dans ces blocs de béton qui me permette de m’évader de la vie stressante actuelle.

Il est vrai que je délaisse souvent ma famille pour cette passion. Je suis marié depuis presque dix ans et j’ai un garçon de 7 ans et une fille de trois ans. Simon est déjà le petit Milou que tu as connu. Je travaille depuis 32 ans dans l’ancienne société GB – Inno – BM, devenue Brico. Hélas, je ne suis pas encore vieux assez pour "foutre le camp" et faire enfin tout ce dont j’ai envie.

J’espère que nous aurons l’opportunité un de ces jours de boire un bon pot quelque part et de revivre notre jeunesse qui restera, pour moi, un des plus beau moment vécu.

Toutes mes amitiés. Emile Coenen dit "Milou"

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CL 0232

Monsieur Janssen,

Nous n'avons plus de contacts avec Monsieur Gersay. Nous ne savons pas s'il vit encore.

Vous pourriez le demander à Monsieur Draps de la FRALEF (vois page "VOS recherches, ..." de notre site) pour en savoir plus à son sujet.

Quant aux autres renseignements, veuillez adresser votre demande à Monsieur le Chef du S.I.H.L.E. (Service d'Information et Historique de la Légion Etrangère) - BP 78 à 13673 Aubagne.

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CL 0233

Monsieur Letemps,

Rien trouvé.

Vous auriez certainement plus de chance auprès du MRA ou des Bundesarchiv (voir adresses et commentaires sur la page "VOS recherches, ... de notre site).

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CL 0234

Monsieur Lobert,

Je ne peux vous aider qu'en vous conseillant de vous adresser à Monsieur Roland Versele - Historien - Volkstraat, 61 à 2860 SINT-KATELIJNE-WAVER qui devrait être à même de vous répondre.

Si vous n'obtenez pas satisfaction, ou parallèlement, posez votre question au Dr Richard BOIJEN, Chef du Centre de Documentation de l'Armée - BXL E-Mail:

Désolé de ne pas pouvoir faire plus.

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CL 0235

Monsieur Pitrat,

Notre Président me donne les infos suivantes:

"Il s'agit très probablement d'un décès dû à la grippe espagnole qui a fait rage en 1919. Vous adresser au Centre Culturel de la commune de Habay - Province du Luxembourg - Code postal 6720 (Habay-la-Vieille a été jumelée avec Habay-la-Neuve sous l'appellation Habay le 1er janvier 1977)".

Quant à votre suggestion de faire connaître l'initiative que vous nous signalez, j'ai transmis votre message à notre rédacteur.

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CL 0236

Madame Boulanger,

Je ne peux que vous donner une série d'adresses auxquelles vous pourriez vous adresser.

Il existe une Fraternelle de la 5e Brigade d'Infanterie "MERCKEM", affiliée à la Fédération Nationale des Volontaires de Guerre. Son Président est Mr Joseph Breyer, Rue de Fléron, 159/6 à 4020 Jupille - Tel: 04/362.94.08 et le secrétaire adjoint national est Mr E. Legros, Rue de Dolembreux, 55 à 4130 Esneux - Tel: 04/380.13.00.

L'oncle de notre Président, Théophile Spoiden, Quartier Vévy, 2 à 6600 Bastogne a fait partie de la 5e. Tel: 061/21.15.47.

Nous sommes intéressé par les souvenirs de votre papa. Nous serions également heureux de savoir dans quelle mesure ces contacts vous auront été utiles.

Merci d'avance.

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CL 0237

Madame Allibert,

Nous n'avons aucune archives sur ce sujet. Celui-ci m'intéressant, j'ai aussi fait des recherches, mais sans beaucoup de succès jusqu'à présent

Je vous conseillerais de contacter plusieurs institutions parmi celles reprises dans notre page "Vos recherches..." qui s'occupent des anciens combattants et anciens prisonniers.

Si vous obtenez des résultats, il nous serait agréable d'en profiter en vue d'informer d'autres chercheurs (le courrier des lecteurs reprend ces renseignements quand j'ai le temps d'en faire des mises à jour).

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CL 0238

Madame Tilmant,

Comme vous pourrez le lire sur notre page http://clham.org/000008.htm#00, nous ne savons pas donner de renseignements sur les personnes. D'autre part, nous ne possédons pas de documentation au sujet du Stalag I A.

Cependant, sur cette même page, vous trouverez une série d'adresses qui vous permettront de contacter des organismes susceptibles de vous donner des réponses.

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CL 0239

Monsieur Bovy,

A ma connaissance, le seul ouvrage écrit sur la citadelle est celui de Mr Jules Loxhay (épuisé). Ce livre contient la liste des fusiliers et exécutés qui sont enterrés au cimetière de la citadelle.

Malheureusement, je dois faire des recherches en ce qui concerne la liste des libérés (s'il en existe une!).

Les Allemands ont abandonné la citadelle en y laissant les derniers prisonniers le 7 septembre 1944.

Si mes recherches aboutissent, je ne manquerai pas de vous en communiquer les résultats.

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CL 0240

Monsieur Bernard,

Ce sujet étant peu connu et peu documenté, je ne peux que vous donner les seuls renseignements en ma possession:

En juin 1944, existait un camp de prisonniers russes à Tilleur, rue de la Meuse (Kriegsgefangenen Lager Arbeitskommando Russischen)

Je n'en sais pas plus, mais je peux faire certaines suppositions d'après mes acquis historiques sur la WW II à Liège:

bullet

sans savoir depuis combien de temps ce camp est installé et ce qu'il est devenu suite à l'avance des troupes US, il est sûr que l'occupant allemand a utilisé de nombreux prisonniers de guerre russes à toutes sortes de travaux pénibles, particulièrement dans le creusement de galeries et autres installations souterraines (Exemples connus et confirmés par différentes sources: les creusements nécessaires à la construction de "La Coupole" à Wizernes et la base de V3 à Eperlecques). Et ce, dans des conditions de "travail" très pénibles. Ces Russes étaient parmi les plus mal traités, après les Juifs. Les Allemands concernés n'avaient donc pas intérêt à laisser trop de traces avant leur départ...

bullet

     donc, il est très plausible de supposer que des prisonniers russes ont été employés dans les industries lourdes de Liège.

bullet

 il est aussi possible qu'une partie de ces prisonniers ait été employée dans les charbonnages de Cherate, Wandre, ... Ces prisonniers rejoignaient-ils le camp de Tilleur tous les jours ou restaient-ils dans un camp annexe au camp principal? Existait-il un camp particulier à Wandre ?

Comme vous pouvez le constater, c'est pauvre comme réponse et cela apporte en plus un tas d'autres questions. Quand on met le doigt dans l'engrenage, on n'en a jamais fini..., mais c'est aussi plaisant.

Si vous aviez le bonheur d'en apprendre plus par d'autres sources, je serais heureux aussi de partager vos trouvailles.

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CL 0241

Monsieur Bernard,

En discutant avec un autre chercheur - qui a travaillé pour l'armée US lorsqu'elle occupait Liège - j'ai appris qu'il serait très possible que ces Russes aient été des prisonniers des Allemands, libérés mais non encore rapatriés. Mais ce ne sont que des suppositions de ce nouveau membre.

Je n'en sais pas plus.

Cependant, suite à d'autres recherches, j'ai découvert qu'à Vottem, un camp de prisonniers allemands a été ouvert le 7 septembre 1945. Il avait la dénomination "LG II". De là à en déduire qu'il était construit pour des prisonniers des Allemands, il n'y a qu'un pas à franchir, mais sans aucune certitude. Je n'ai encore rien trouvé à ce sujet.

Comme vous le voyez, ce sujet n'est pas des plus facile.

Si je trouve plus d'informations, je vous les transmettrai.

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CL 0242

Monsieur Zabel,

Bien qu’étant en possession de nombreuses publications sur le mur de l’Atlantique, je n’y ai trouvé aucun plan de Dom-Bunker. Je vous suggère de chercher sur internet des sites sur ce sujet. Certaines personnes en France sont en quelques sortes des spécialistes sur ce sujet et possèdent éventuellement un site, voici quelques noms: Chazette A (tient une librairie spécialisée, rue de Crussol, à Paris), Laurent J., François G., et également les Editions Heimdal.

Espérant que vous aurez plus de chance via ces pistes...

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CL 0243

Monsieur Vandycke,

J'ai dû attendre le retour de vacances de notre spécialiste en fortifications, Mr Emile Coenen,  pour lui transmettre votre demande.

Voici sa réponse:

Pourriez-vous préciser les renseignements que vous désirez obtenir sur l’abri PL 19. Je possède des plans de cet abri, une seule photographie (malheureusement prise de très loin), la liste de l’équipement en dotation dans l’abri ainsi que des plans (de mauvaises qualités) du moteur. Tout ceci est à votre disposition si cela vous intéresse, mais je vous demande un peu de patience. La farde concernant ces renseignements est pour l’instant en possession d’un ami et, qui plus est, je dois encore répondre à un important courrier.

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CL 0244

Monsieur Wuyts,

Pour répondre à votre question, Mr Pierre Grégoire a consulté la revue "Les armes à feu réglementaires belges depuis 1830", éditée par le Crédit Communal à l'occasion de l'exposition du même nom organisée au MRA du 15 septembre au 15 décembre 1988.

Revolver pour officiers: Nagant 1878 double action 9,4 x 22R (AR 4969 bis du 10 juin 1878).

Revolver pour sous-officiers et trompettes: Nagant 1878 simple action 9.4 x 22 R (AR 6955 du 6 août 1883)

A partir de 1886: Nagant 1878/86 double et simple action

Ensuite, pistolet Browning automatique FN 1900 7,65 (AR 13478 du 3 juillet 1900)

NB: les diverses armes de poing Nagant sont restées en service pour les servants d'artillerie et trains jusqu'en 1920. Elles auraient alors été entreposées dans des dépôts jusqu'en 1940.

Fusils et carabines Mauser:

AR 21 octobre 1889: infanterie et génie

AR 11 février 1896: corps spéciaux

Fusils et mousquetons 11 x 59R système Comblain:

bullet

Carabine Mod 1870: chasseurs et artilleurs de la Garde civique

bullet

Fusils Mod 1870: infanterie de la Garde civique

bullet

Mousqueton de cavalerie 11 x 43R Mod 1871/1883: cavalerie et trains jusqu'en 1910.

De l'avis de Mr Grégoire:

Oui pour revolver Nagant 1878/86 et carabine Mauser FN 1889 (7,65 x 54)

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CL 0245

Monsieur Rombaut,

Concernant les effectifs, les grandes unités citées ci-dessous étaient de l'ordre du bataillon à 3 ou 4 compagnies (ou batteries pour l'artillerie).

Voici donc la liste de ces unités:

·         En 1945: 14 Bn Inf

·         En 1946: 4 Bn Renfort et Instruction

·         De 1946 à 1951: IV CIP (Centre d'Instruction Primaire)

·         En 1947 et 1948: 30 DID (?)

·         De 1947 à 1951: Ecole REME

·         En 1950 et 1951: 5 CI Infanterie

·         De 1952 à 1957: PEQ (Entretien) et PCQ (Chauffage)

·         De 1952 à 1956: Musique 10 Bde Inf + QG CA 4 Div Inf + 7 Cie TTr + Service ménage

·         De 1952 à 1958: 14 Bie GTA (Garde Territoriale Antiaérienne)

·         De 1953 à 1958: 26 Bie GTA

·         De 1956 à 1958: 67 A + NM 25 et NM 40 (Noyaux Mobilisateurs) + Musique 4 DI

·         De 1958 à 1960: 421 Bn GTA

·         De 1958 à 1967: PSC Chartreuse (Surveillance)

·         De 1958 à 1971: 701 Cie Tpt

·         De 1958 à 1979: Centre Mobilisateur

·         De 1960 à 1963: SEDEE (Démineurs)

·         De 1960 à 1971: NM 26 + Musique 1 CA

·         De 1960 à 1974: 123 Cie TTr

·         De 1963 à 1971: NM 28

·         De 1967 à 1975: 702 Cie Tpt

·         De 1974 à 1978: 3 Cie TTr

·         De 1978 à 1982: 5 Bn TTr

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CL 0246

Monsieur Troussart,

Tout d'abord, merci de vos appréciation et félicitations.

Bien entendu, il faut lire 1936 au lieu de 1956. C'est une erreur qui arrive trop fréquemment lorsqu'on travaille via scannage et reconnaissance de caractères. L'erreur sera corrigée lors de la prochaine mise à jour.

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CL 0247

Madame Blanc,

Nous ne pouvons malheureusement pas vous aider.

Le seul moyen qui nous vient à l'esprit pour espérer quelque résultat est d'adresser votre demande aux archives allemandes. (Voir document .jpg ci-joint). Mais ... il faut connaître la langue et avoir les moyens financiers sans pour autant être sûr d'un résultat positif. Bonne chance tout de même.

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CL 0248

Monsieur Van Reusel,

Je crois que le plus simple est que vous commandiez à l'IGN une carte de Belgique antérieure à 1925. Avec un peu de chance, possèdent-ils aussi des cartes spécifiques "voies navigables".

Adresse: Institut Géographique National - Service de vente - Abbaye de la Cambre, 13 - 1000 BXL

Tel: 02/629.82.82 Fax: 02/629.82.83

E-mail:

Site: www.ngi.be

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CL 0249

1. Madame,

Notre site est, comme vous avez pu le constater, très vaste et je ne le connais pas par coeur.

Afin de pouvoir essayer de régler votre problème, voudriez-vous m'indique dans quelle page vous avez trouvé ces photos (N° à 6 chiffres - Ex: 040261 - ou son titre).

2. Madame,

A partir de cette page, vous quittez - du moins temporairement - notre site.

En effet, vous cliquez sur des liens externes qui vous amènent sur d'autres sites dont, bien entendu, je ne suis pas responsable.

Je ne peux pas vous aider si ce n'est en vous conseillant de vous adresser au gestionnaire du site qui présente ce défaut. En général, les adresses des gestionnaires sont reprises sous un titre "e-mail", "contact", ...

3. Madame,

J'ai fait une recherche "Copernic" sur le sujet.

Vous trouverez un assez grand nombre de photos et plans du camp de Dachau sur les sites ci-dessous (il suffit de cliquer sur les liens pour ouvrir ces sites):

The Dachau gas chambers

http://veritas3.holocaust-history.org/dachau-gas-chambers/

Gedenkstätte Dachau

http://www.kz-gedenkstaette-dachau.de/

Dachau Concentration Camp

http://www.photo.net/travel/bp/dachau.html

History of Dachau Concentration Camp

http://www.scrapbookpages.com/Dachau/

Concentratie kamp Dachau

http://www.dachau.nl/main.html

Jewish virtual library - Dachau

http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/Holocaust/dachautoc.html

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CL 0250

Monsieur van Bogaert,

Comme vous pouvez le lire sur notre page "VOS recherches, VOS questions", nous ne possédons pas d'archives concernant des personnes.

Cela étant, votre épouse, ou mieux, votre belle-mère, peut demander un "extrait de la matricule" à l'OCM (voir page déjà citée). Donnez le plus de renseignements possible sur le général Roggen et si vous le connaissez, indiquez son N° matricule. Il n'y a pas de censure mais, suite aux nombreuses demandes, le délai peut être +/- long.

Concernant les Oflags:

D'après mes propres recherches, il semble que la plupart des officiers belges ont d'abord été internés à l'Oflag III B à Tibor (Pologne). Ce dernier, quoique assez éloigné de Berlin, faisait partie de la "Wehrkreis III", zone de Berlin. Il fut ouvert en 06/1940 et fermé en 02/1942. Le camp de prisonniers faisait partie d'un complexe militaire appelé "Ausbildungslager und Reservelager der Festungsfront". C'est tout ce que je sais à propos de Tibor.

Toujours d'après mes propres recherches, les officiers belges internés à Tibor, pratiquement depuis le début de leur captivité, furent transférés et regroupés dans l'Oflag II A à Prenzlau - "Wehrkreis I", zone de Stettin, le 11.03.1941. Ce camp existait depuis 09/1939 et fut fermé en 12/1944.

Nombre de prisonniers à diverses dates (sources diverses):

07/41: 2.728; 07/42: 2.300; 12/42: 2.651; 04/43: 2.626; 09/43: 2.601.

Une de mes sources indique que 23 prisonniers belges s'en évadèrent.

Je ne trouve rien de plus qui puisse vous aider. Mais … il y a d'autres possibilités: vous pourriez transmettre votre demande à plusieurs Associations patriotiques reprises dans notre liste de contacts (page citée), en particulier à la FNAPG. D'autre part, vous pourriez aussi entamer des recherches auprès du CEGES (idem).

Je vous souhaite un bon succès et vous demande, dans la mesure du possible, de me faire connaître vos résultats et, si vous trouvez plus à propos des camps, de me communiquer tout ce qui pourrait servir à aider d'autres correspondants.

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CL 0251

Monsieur,

Ne pouvant vous aider directement, je ne peux que vous conseiller de transmettre votre demande à un ou plusieurs des organismes s'occupant de la résistance. Vous trouverez les noms et adresses de ces organismes sur notre page http://clham.org/000008.htm#00

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CL 0252

Monsieur Chamotte,

Afin que vous ne perdiez pas de temps avec le peu que nous pourrions trouver chez nous, je vous invite à prendre contact avec l'association AMIFORT MAUBEUGE qui sera mieux à même de vous renseigner.

Président AMIFORT MAUBEUGE : Mr Marcel CATY - 182, Rue Faidherbe à F 59460 JEUMONT - Tel +33 327 67 18 97 - E-mail:

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CL 0253

Bonsoir,

Comme (trop) souvent, le manque de référence oblige à des recherches qui font perdre du temps!

En ce qui concerne votre demande, il n'est pas nécessaire d'avoir l'autorisation de l'auteur: voyez nos conditions d'autorisation sur notre page: http://clham.org/accueil.htm

Pour info, l'auteur est notre Président.

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CL 0254

Monsieur Bastin,

Ne sachant pas répondre moi-même, j'ai transmis votre demande à d'autres membres.

Voici ce qui m'a été transmis:

A ma connaissance, entre 1940 et 1944, les Allemands n'ont pas construit dans les provinces de Namur et de Liège, le moindre abri en vue de constituer une ligne de défense à proprement parler. Par contre, il existe de nombreux cas de blockhaus isolés édifiés par les troupes d'occupation dans un but de défense des points de communication ou à des fins de surveillance policière. C'est le cas à Verviers, avec le blockhaus accolé au palais de justice, ainsi qu'à Liège, sur la place de l'Opéra. Il y a également eu beaucoup d'abris de défense passive, construits pour mettre occupants et occupés à l'abri des bombardements alliés. C'est le cas entre autres à Liège, au pied des escaliers de la montagne de Bueren.

Les constructions que notre correspondant évoquent sont par contre exclusivement et intégralement belges.

A Namur, la position qui entoure la ville compte neuf forts (dont 7 réarmés) et de 163 à 169 abris. Un obstacle antichar continu doit rendre la position hermétique aux chars.

Sur la Meuse, de nombreux abris ont également été construits. 9 abris anti-irruption entre Heer et Dave. 70 abris entre Namêche et Ivoz-Ramet (10 anti-irruption en face des ponts + 60 abris de berge). 12 abris entre Pontisse et Maaseik (anti-irruption).

Sans compter les innombrables abris qui protègent Liège (+/- 421 abris):

position avancée Beusdael-Stavelot 65 abris; PFL I Visé-Battice-Comblain 178 abris; PFL II Chertal-Chaudfontaine-Val St Lambert 63 abris; PFL III têtes de pont de Jupille-Renory, Argenteau et Visé 43 abris; PFL IV Ivoz-Ramet, Pontisse 38 abris, réseau téléphonique souterrain 34 abris.

Mais le patrimoine belge ne s'arrête pas là. Des lignes d'abris ont également été réalisées dans les Ardennes, le long du canal Albert, le long des canaux extérieurs qui jalonnent la frontière hollandaise, à Anvers (où là se trouvent également d'anciens abris allemands de 1914-1918), sur la ligne Koningshooikt-Wavre, sur la ligne Wavre-Ninove, à Malines, à Gand et le long du littoral.

Monsieur Bastin,

Je vous transmets un complément d'information reçu de notre spécialiste, Monsieur Emile Coenen:

Objet Bunker de la Meuse

A partir de 1936 et suite à une demande des français, il est décidé d’assurer une défense contre l’irruption motorisée depuis la frontière française jusqu’à la position fortifiée de Liège. Cette défense contre l’irruption impose la construction d’abris bien spécifiques.

Ces abris sont disposés devant chaque point de franchissement de la Meuse qui est un obstacle antichar naturel. Ces abris sont dotés d’un canon antichar (généralement de 47 mm de campagne ou sur affût de casemate), d’une ou plusieurs mitrailleuses et d’un projecteur.

Finalement, ces abris seront donc érigés devant chaque pont (route ou de chemin de fer ou passage à gué) entre la frontière et l’extrémité de la position fortifiée de Liège. En voici la liste (ceux suivi d’une * étaient encore visibles durant les années 90 et ceux suivi d’un + sont détruits depuis longtemps):

M (Meuse) n° 5 (il n’existe pas d’abris de 1 à 4 et de 25) = Bouvignes* (pont)

M6 = Houx* – M7 = Yvoir – M8 = Godinne* = M9 = Lustin* – M10 = Jambes – M11 = Namur – M12 = Namèche – M13 = Sclayn – M14 = Andenne – M15 = Huy (rails) – M16 = Huy – M17 = Ombret-Rausa* – M18 = Hermalle-sous-Huy* – M19 = Engis – M20 = Yvoz-Ramet+ – M21 = Val-Saint-Lambert+ – M22 = Seraing+ – M23 = Ougrée+ (rue du Pont) – M24 = Ougrée+ (rue Chapuis) – M26 = Wandre+.

Ces abris ont les formes les plus variées. Ils sont parfois minuscules ou imposants. Si vous le désirez, je possède quelques plans et certaines photographies de ceux qui existent encore. Je n’ai pas fait l’entièreté de cette position. Mais vu la modification des ponts ou le changement de positions de ceux-ci, il faudra beaucoup de chances pour en trouver d’autres?

Les abris, situés le long de la Meuse, sont également d’origine belge. Suite à une demande des autorités françaises, les belges ont érigés, tout le long de ce fleuve, une série d’abris devant flanquer le plan d’eau. Ils se répartissent entre la Position Fortifiée de Namur et celle de Liège.

De Namèche à Huy, il existait 29 abris. De Huy à Engis, il existait, plus ou moins 19 abris.

Une bonne partie de ces abris sont encore visible. Ici non plus, je n’ai pas encore fait toute la position.

En ce qui concerne Namur, vous êtes en plein dans la position fortifiée de cette ville qui comporte un nombre très important d’abris (d’après documents, 52 abris et 7 contre-irruption). Ils sont tous belges. Je n’ai pas encore étudié cette position vu l’éloignement.

Pour répondre à votre dernière question, il existe bien des abris construits par les allemands dans notre pays. Outre ceux que l’on trouve au littoral, il existe également de nombreux abris dans la région d’Anvers (1914) et l’on en trouve encore au hasard dans différentes régions. A Namur, je n’en connais qu’un seul et datant de la première guerre mondiale. Il est situé dans le bois du Plangeois à Flawinne. Il s’agit très certainement d’un abri de bombardement réalisé vers 1918. A Liège et durant la seconde guerre mondiale, la ville et ses alentours comportent également de nombreux abris édifiés par les allemands. La plupart ont été détruit. Dans les gares, on en trouve parfois. Nos archives ne comportent aucun document sur ce sujet. On les découvre vraiment par hasard.

Je reste à votre entière disposition en ce qui concerne les fortifications de la Meuse, car je possède des plans et des documents sur ce sujet. Pour le reste, je ne puis vous être d’une grande utilité n’ayant pas encore étudié ces positions.

E. Coenen

Nous espérons que cela vous avancera dans vos recherches. Si vous possédez d'autres informations qui pourraient nous intéresser, ce serait gentil de votre part de nous les transmettre.

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Dernière modification :
31 mai 2008